Entries from October 2008 ↓

Count of Chineseness?

A full blood Chinese is often called in Mauritius a 32. What would a half bred be? The child born of the union of a Chinese to a non Chinese, a half bred would be a 32/2= 16.

Look at the features of this lady. Surely you can observe from the photo of my Grandmother that she is a 16. Indeed , she was the child of my great grandfather Mr. Ah Fan, a china man married to Josephine Hitié.

Grandmother Anna, also lovingly called Tana in the family, married another china man, another 32 and gave birth to my mother. So by simple genes mathematics, the Chinese content of the genes of my mother, based on 32 would work out to be 16 + 32=48/2= 24.

Since my mother married another 32, I reckon that I should mathematically be 24+32= 56/2=28.

Assuming that my wife is another 32, as we have reason to believe, from her ancestry, my children by the same token would be 28 + 32=60 /2 = 30.

In the final analysis, who cares about the weighting of chineseness in our genes? Does a pure blood Chinese exist? After all, the Hans who are the majority of china, are themselves a metissage of different tribes from various part of China and Mongolia.

Whilst it is interesting to know one’s origin, recognising it to move forward in life is the most important. To dig the cultural richness from the past to live a better present and build a compelling future is my belief.

Never mind the genes count, we have greater cultural richness to tap from our Mauritian environment. First hand exposure to the numerous cultures on our Island is truly a strength which I have availed myself of to build my agility of mind. Mauritians have more than one trick to draw from the various cultures.

Yalla! SÅ“ur Emmanuelle

Elle est partie vers le Père céleste, elle laisse en héritage une organisation ASMAE– qui veut dire ECOUTE- qui continue à Å“uvrer pour les pauvres et affligées.

Qui était Sœur Emmanuelle ?

Elle partage ses années d’enfance et de jeunesse entre Paris, Londres et Bruxelles, lesquelles sont marquées par la mort de son père, noyé sous ses yeux sur la côte d’Ostende lorsqu’elle a 6 ans. C’est à 20 ans que Madeleine Cinquin décide de rentrer au couvent malgré l’opposition de sa mère. A 23 ans, après des études de sciences philosophiques et religieuses, elle prononce ses vÅ“ux de religieuse dans la congrégation Notre-Dame de Sion et devient SÅ“ur Emmanuelle.

Sœur Emmanuelle enseigne les lettres au Lycée Notre-Dame de Sion à Istanbul en Turquie et ensuite en Tunisie. Tout au long de ces années, elle ressent le désir de se mettre au service des exclus. Elle sensibilise ses élèves, de condition aisée, aux difficultés des populations démunies de leur pays. Elle enseigne à Alexandrie et s’attache beaucoup à l’Égypte.

Le gros de son travail commença à sa retraite. A l’âge de 63, En 1971, elle décide de partager la vie des plus pauvres, les chiffonniers du Caire, en Égypte. Guidée par ses valeurs : la foi en l’Homme, le Respect de l’autre et la Justice, elle parvient à s’intégrer dans leur communauté.

En travaillant en collaboration avec les chiffonniers, elle contribue à améliorer leurs conditions de vie. Ses priorités vont à la santé et à l’éducation des enfants. En quelques années, des dispensaires, des écoles et des jardins d’enfants sont construits.

Elle rencontre en 1976 Sarah Ayoub Ghattas (sÅ“ur Sarah), alors jeune et dynamique supérieure d’un couvent copte orthodoxe, francophone, issue d’une famille de la bourgeoisie qui la rejoint et devient l’âme de la communauté. Grâce à sÅ“ur Sarah, « la maison étant tenue », sÅ“ur Emmanuelle peut parcourir le monde pour récolter des fonds grâce à ses dons d’oratrice et sa personnalité chaleureuse.

Pour la soutenir dans ses actions, elle fonde sa propre association, en 1980 : ASMAE – Association SÅ“ur Emmanuelle. Pragmatique, elle veut professionnaliser ses actions et assurer sa relève. Sous son impulsion, l’association développe ses actions dans d’autres pays.

En 1993, à la demande de ses supérieures, SÅ“ur Emmanuelle quitte définitivement l’Égypte et rejoint sa communauté en France. Elle continue de se battre pour plus de solidarité. Elle écrit des livres (Chiffonnière avec les chiffonniers, Richesse de la pauvreté, Vivre, à quoi ça sert ?), rencontre des jeunes dans les lycées et les écoles, s’occupe également de l’association Les Amis de Paola à fréjus en aide aux SDF et donne des conférences aux côtés de son association pour sensibiliser le public à l’engagement solidaire.

Parallèlement, SÅ“ur Emmanuelle continue à donner « un souffle » à son association. Elle lui transmet ses principes d’actions qui sont chaque jour mis en pratique sur le terrain. « éduquer un homme c’est éduquer un individu, éduquer une femme, c’est éduquer un peuple ».

En 1995, avec Geneviève de Gaulle-Anthonioz, elle est à l’origine de l’orientation de la campagne présidentielle de Jacques Chirac sur le thème de la fracture et de l’exclusion sociale[2].

Le 1er janvier 2002, SÅ“ur Emmanuelle est promue par Jacques Chirac au grade de commandeur de la Légion d’honneur avant d’être élévée, par Nicolas Sarkozy, le 31 janvier 2008 grand officier de la Légion d’honneur.

COMMUNIQUE DE PRESSE

Paris, le 20 octobre 2008

Sœur Emmanuelle s’est éteinte le 20 octobre 2008 dans sa 100eme année.

Durant toute sa vie, notre fondatrice a puisé son inlassable énergie dans sa foi en Dieu et comme elle l’affirmait aussi, dans sa foi en l’Homme.

Son combat contre la misère et l’exclusion l’a menée à vivre avec les plus pauvres pour les aider à se « mettre debout », en privilégiant l’éducation des enfants.

En même temps, elle n’a eu de cesse d’interpeller tous ceux qu’elle rencontrait pour les inciter à s’engager en faveur des plus faibles.

Son parler vrai et les valeurs de respect, confiance, justice qu’elle défendait lui ont valu d’être unanimement appréciée. Jusqu’au bout et malgré son âge, Sœur Emmanuelle est demeurée « un souffle » vivant pour tous ceux qui poursuivent et développent ses actions.

Conformément à sa volonté, ses obsèques auront lieu dans la plus stricte intimité. Une messe à sa mémoire sera célébrée prochainement à Paris.

Sa disparition laisse un vide immense dans nos cœurs mais la force de son message continuera de nous aider à être fidèle à sa devise : « Vivre c’est agir, Yalla !».

Sunday Thoughts

Whilst reading the recent book published by Jimmy Harmon , L’ Esperance Creole, my thoughts dwelt on : ‘L’Evangile n’est pas qu’une communication de connaissances mais la communication qui produit des faits changeant la vie.’

Indeed, Jimmy Harmon in his speech yesterday, on the inaugural public presentation of his book, referred to his attendance to the series of seminars in lifting his spirituality at St. Ignace as the prompter to his move into the mission he set himself to do. He thus found a life mission which was reinforced by the calling to run seminars on the history of the church in Mauritius following the bad health of Mgr Nagapen.

As much as the events of our life call us for change and redirecting it, the gospel and reading of it will lead us to life changes.

The bishops of the Catholic Church are presently assembled in Rome in a synod to discuss about the word of God.

RELATION OF THE WORKING GROUP GALLICUS C: H.E. Most. Rev. Pierre-Marie CARRÉ, Archbishop of Albi (FRANCE)

Biblical renewal in the Catholic Church is still recent. We rediscover the Word of God and we need to go back to the long tradition of interpretation that goes back to the Fathers of the Church. Of course, the context is not the same. Dei Verbum, based on Biblical renewal, gave keys for interpretation that are not known well enough yet. We must work harder to make this great text better known. Simple propositions are necessary so that the Bible becomes the spiritual nourishment of all the members of the Church.

Here are our propositions:

1. A reading of the Scripture that starts in the family and continues in Biblical evenings in the parish. The celebration of Bible weeks in the dioceses will prolong this effort.

3. Teach a living listening of the Word of God.

Each believer needs to be able to transform the heart into a library of the Word. Thus the Bible can become a living source of catechesis (memorizing in the following of Mary, putting certain texts into music). To proclaim the Word to the poor is the first objective of the mission of the Church. The notion of poverty must be taught to perceive its different aspects.

5. Pedagogical means, online support (internet) to simplify the understanding of the more difficult Biblical passages.

6. We hope for a revision of the lectionary.7. We could recognize — institute — extraordinary ministers of the Word. These ministers — catechists, readers, animators of base communities, men and women — would be specially prepared for this mission and officially delegated by the bishop.

8. Intrinsic tie between Eucharist and Word

Dei Verbum stated that the Church takes the bread from the table of the Word and Eucharist to nourish her children. The Word, this is Christ Jesus; the Eucharist, this is Christ Jesus. It would be worthwhile to give more to the roles of the servants of the Word (readers, chanters, preachers, etc…) Christ Jesus gives Himself through the servants of the Word and those celebrating the Eucharist.

9. Spreading the Bible

Everything must be done to ensure the greatest number of languages for translations and for the spreading of the Bible. The world Biblical foundations should create a fund for financial support of Biblical projects, thanks to a sharing between dioceses.

10. How to heal the relationships between exegetes and theologians?

The true exegete must be the humble servant of the Word and be open to the Spirit of God. In the formation of priests, there should be several approaches to the Scripture: Lectio Divina, exegesis.

12. World Congress on the Word of God

The world Eucharistic congresses must give the proper space to the Word of God, the presence of Christ among us.

13. Dialogue with the Jews

A holy Jewish reading of the Scripture, attentive to the critical editions and the dating of the Jewish texts, could complete the search of the environment of life in the Biblical text, done with a historical-critical approach.

17. The Holy Land, the Fifth Gospel

A pilgrimage on the footsteps of Christ and His Apostles allows a renewal in Faith.

20. Woman, “passer” of the Word

We hope that women, and especially mothers, may receive a formation appropriate to this condition as the “passer” of the Word.

— RELATION OF THE WORKING GROUP ANGLICUS A: H.E. Most. Rev. Mark Benedict COLERIDGE, Archbishop of Canberra-Goulburn (AUSTRALIA)

In the course of the discussion, certain overarching themes have emerged and from which Propositions will come. Here I list these themes as needs which have been identified:

1) There is a need for an inclusive and comprehensive pastoral plan which is based upon the Word of God and looks in all its elements to the Word of God.

2) There is a need to develop small communities — even within larger communities — in order to foster a sense of belonging, a programme of sharing the Word of God in Scripture, a formation in faith and an empowerment for mission.

3) There is a need to provide the poor with what is their most basic right and need — the Word of God for which they have a special openness just as God has for them a special love. That is why it is vital that the Bible be translated into as many languages as possible.

4) There is a need to lead young people to know and love the Word of God so that they may assume their role as agents of mission, especially among their peers.

5) There is a need to stress the essential evangelising mission of the laity by virtue of their Baptism. In particular, there is a need to focus on the family as the domestic church.

6) There is a need to stress that the life of the Church is mission and to empower as many people as possible to undertake mission without excessive fear as to whether they are fully equipped or not.

7) There is a need for solid ongoing formation in the Word of God for all agents of mission, including the Bishops.

8) The need to focus upon the mission ad extra and ad gentes rather than simply upon the internal life of the Church implies in general the need for dialogue with cultures.

9) There is a need to examine and explain what is meant by “salvation”.

10) There is a need to stress the inseparability of contemplation and mission.

11) There is a need to focus upon the life-giving power of the Holy Spirit.

It was suggested at our first meeting was that it may be better if the small groups were to meet in continental rather than linguistic groupings, since then they would have more in common as the basis for discussion. Our discussion since then has shown that it can be difficult and frustrating at times to work through complex issues in such a large and diverse group united by language rather than geography. But it has shown as well that we are united not only by the accident of language but also and more deeply by the bond of faith.

Leadership & Development

The Council for Adult and Experiential Learning (CAEL), a non-profit organization, has nine exemplary practices for building emerging leaders.

1. Drive learning with leadership vision and commitment. The CEO and senior managers must elevate learning and development. Tim Reedy, CEO of Conference Plus, discusses development with employees through group “Lunch and Learns” and quarterly “All Hands Calls,” enabling every employee to be informed and heard by the CEO.

2. Align employee learning with business goals. Top leaders should adopt clear goals, communicate them widely, and ensure that L&D activities are aligned with the goals. IBM’s goal, for example, is to help set the innovation agenda for its clients. IBM wants its people to be innovators in their roles so that they can be resources for their clients. The innovation theme is incorporated into each employee’s annual commitments, enabling them to identify their goals and development needs.

3. Strategically position L&D functions within senior management. A HR leader or CLO must be part of the top management team. Consider creating new roles and functions to lead talent development. US Cellular created a VP of Organizational Learning and Chief Teaching Officer to lead the design and execution of its L&D strategies.

4. Emphasize LD at all levels. Since leadership skills are essential for all employees, you need to develop talent from within. Focusing only on Hi-Pos poised for top positions won’t prevent the talent crunch. GE Commercial Finance fosters a growth culture for future leaders with a leadership program that combines job rotations by assignment, leadership interaction, and unique training opportunities. All employees gain a broad view of the company while quickly developing core professional skills and experience.

5. Expand knowledge beyond job-related or technical skills. Investments should be made to develop well-rounded, versatile employees through tuition assistance programs, customized on-site training, and personal development options. To meet skill shortages, Northwestern Memorial Hospital (NMH) is developing its people for future health care leadership positions. NMH participates in the School at Work program. Once a week at work, participants are exposed to several health care occupations, given career planning tips, and meet with college counselors.

Tuition assistance programs must be managed effectively and evaluated against best practices to meet talent development goals and spur growth.

6. Structure informal learning opportunities. Employers should integrate work and learning through team projects, cross-training, rotational assignments, and problem-solving exercises. People often learn better from experience, hands-on training, and self-directed learning. Diamond Consulting developed online forums for self-directed learning and peer learning communities and a variety of educational programs including Corporate Citizenship, which provides leadership training through volunteer opportunities. Diamond also developed a Knowledge Center available to employees 24/7.

7. Use innovative technology to meet learning objectives and to manage your education and training offerings. Deloitte effectively uses e-learning by offering 6,000+ online courses on their Learning Center Web site. Courses use a blended approach that combines an e-learning course with an instructor-led course. This application-based learning integrates business concepts into training so employees can immediately apply what they learn.

8. Form alliances with educational institutions. Develop customized degree, certificate and non-credit programs collaboratively with education and training providers to ensure that the curriculum meets talent and skills needs. Advocate, a Chicago healthcare provider, has created partnerships with local community colleges to develop programs (including degree- and certificate-bearing programs). They also participate in the DuPage Health Care Leadership Group, which unites local health care providers with colleges and universities to discuss learning needs.

9. Assess the impact of T&D investments. This can include analyzing how training and tuition assistance participants perform against other employees, and looking at the effects on performance, recruitment, retention, bill rates, and other factors. To analyze the ROI of its training, Accenture partnered with the University of Chicago. The study showed that Accenture receives a 353 percent return on learning

Accountable for Success

Accountability is vital to organizations for many reasons.

Lack of true accountability causes excessive cost,

both economic and psychological; de-motivation in those

who work for the organization; dissatisfaction in those

served by it, and suboptimal performance in general.

Accountability can afford greater freedom for leadership,

or deny and constrain the individual’s ability to perform

effectively. In this sense accountability can be positive

or negative; both are important.

Negative accountability occurs when there is interference

with or blocking of the free exercise of positive

action. Positive accountability occurs when one is

answerable to another for the provision of work; husbanding

of resources; and the delivery of a service, product

or set of results that can be measured in terms of

quantity, quality, cost and time. Positive accountability

should operate at all levels in organizations.This is distributed

accountability or, indeed, distributed leadership.

Authority and accountability are closely related concepts.

The exercise of relevant authority is a critical element

of accountability.

Popular wisdom has it that teamwork involves shared

accountability. But this is a common mistake.Teamwork

is a shared endeavor, not shared accountability.A team is

led by an individual who is personally accountable for

the team results.

Accountability assumes a proactive and conscious commitment

to the purpose of an organization by an individual.

It also presupposes clarity, transparency and participation,

which enable contribution to that purpose.

The 10 Key Management Accountabilities

A bona fide line manager must be accountable for

the following:

1. Deciding who comes into the team, negotiating

and managing a budget for that team, and being

held to account for its expenditure.

2. Deciding who will work where, in which jobs

and when.

3. Securing employee commitment to attain the relevant

goals and providing them with the means

they need to deliver their goals.

4. Giving constructive feedback and deciding upon

individuals’ performance and appraisal ratings,

agreeing on their training and development needs,

and ensuring that these are acted upon.

5. Ensuring that the members of the team meet all

their obligations and, if necessary, changing the

goals, obligations or team members, as appropriate.

6. Providing solutions when confronted with problems.

Accountability entails finding a new solution.

7. Making change happen.

8. Achieving results from peers and colleagues over

whom the manager does not have direct control.

9. Achieving results with and through external agencies,

such as consumers, customers, suppliers and

shareholders.

10. Setting timelines and establishing goals, which then

need to be achieved in terms of quality, quantity

and service.

Comments extracted from Brian Dive‘s Book, The Accountable Leader.

Mes ancetres Hitie

Après le diner chez Gerard, l’autre soir, je me suis amusé de ressortir l’arbre généalogique du cote de ma maman pour bien identifier les liens de parenté qui nous unis. Gerard a comme moi des ancêtres Hitié. L’ancêtre Hitié époux d’ Annette Babet qui résidait dans le sud de l’ile, Le Bouchon avait quatre filles : Césarine, Ileng, Joséphine et Mélina.

Césarine epousa un monsieur Hangoway, Ileng épousa monsieur Samsoodin, Joséphine, mon arrière grand’mère épousa Monsieur Ahfan et Mélina épousa monsieur de Conti. Gerard est issu de la branche des Hangoway.

Il me reste à trouver comment les Easton sont connectés aux Hangoway.

Affaire à suivre…

My Chinese Ancestry

From my father’s side the lineage is well known and published. As a matter of fact, in the family we have a book of our ancestry, republished in the 30’s, tracing back all the sons of our branch of Chan since the ancestor elected resident in Meixian. We have a record which tracks 24 generations of sons. We estimate that we have 600 to 650 years of history.

In China, at least in our family, the customs demanded that the ancestor head of the family established a rule to track his descendants. As you probably know all Chinese names are made up of the combination of 3 elements. The first element is the clan’s name: in our case, it is Chan. The second and third elements are either the generation’s name or the person designated and chosen name. In our family by convention, perhaps to create complexity and to make it difficult for foreign parties to decipher, we swap the ranking of the second and third element on each generation. Then a series of names pre-determined by the ancestor, cast in a poem for memorisation purpose, is set and used as an algorithm for the generation elements.

For example my father’s name is composed as 1. The Clan’s name: CHAN, 2. Generation’s name: LIN. 3. Personal chosen name: PAK. By convention for the generation of my father, the generation’ name is placed in third position. Thus the complete name of my father was CHAN PAK LIN.

Any person of the same Clan of the same ancestry would thus be able to situate himself against his peers in relation to the generation’s name. CHAN SOW CHEN is my Chinese name. In my generation, the generation’s name is placed on the second position. All his brothers and cousins will carry SOW placed in second position in their name.

Is not it clever the determination of names from the Chinese tradition? Furthermore one would find balance between imposed rule and the flexibility of individual choice. The generation’s name obeys to set rules, whilst freedom of choice is left to the parents to select a personal element of the name. Harmony is thus achieved by the reconciliation of the immutable rule and personal choice. The YIN YANG balance!

Cousins et encore des cousins!

Etres entourés et supportés par ses cousins est vraiment un bonheur inouï! C’est ce que j’ai vécu ce dernier week-end. Déjà le samedi, c’était le soir du diner de la famille YIPTONG. Soirée mensuelle de la grande famille qui réunit les oncles, tantes cousins et cousines et petits cousins et cousines, tous descendants de l’ancêtre YIPTONG ou mariés à un descendants. La solidarité familiale a pris une dimension particulière car j’avais passé ce samedi soir à prendre connaissance de l’anecdote malheureuse qui s’est abattu sur un cousin. Beaucoup d’entre nous, en entendant le récit, se sont sentis concerné par l’incident, accablé par les effets néfastes, et ont offert leur service et assistance pour alléger le fardeau du cousin.

Sur une note plus heureuse, par contre j’ai vécu une autre solidarité familiale plus festive : Le soixantième anniversaire de Gerard. Gerard lui-même est issu une famille de 2 enfants mais il en a 4 filles. Organiser une fête pour toute la journée pour 120 personnes requière du travail et de la main-d’œuvre. Il a été gâté par la générosité et supports des ses cousins et cousines pour réussir un anniversaire mémorable. L’équipe organisatrice a imaginé un rallye jalonné des questions et de visites aux différents endroits ou Gerard a vécu, a été à l’école et y à travailler. Cela a ainsi permit aux participants du rallye de vivre le passé de Gerard tout en s’amusant. Je salue le grand travail de recherche qu’il a fallut pour rendre l’exercice intéressant, ludique et instructif. Le soir venu, les 120 invités étaient conviés à un diner et spectacle dans les jardins de sa maison. Les discours, témoignages, et souhaits étaient tous déclinés avec professionnalisme dans une organisation sans faille. L’équipe a su tirer partie des talents des cousins réunis pour rendre la fête agréable, amusante et super !

Cousins…voila quoi ca sert ! Avec des familles de plus et plus moins nombreuses, vive les cousins !

Reflexion Dominicale

Evangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 22,1-14.

Jésus se remit à parler en paraboles :
« Le Royaume des cieux est comparable à un roi qui célébrait les noces de son fils.
Il envoya ses serviteurs pour appeler à la noce les invités, mais ceux-ci ne voulaient pas venir.
Il envoya encore d’autres serviteurs dire aux invités : ‘Voilà : mon repas est prêt, mes boeufs et mes bêtes grasses sont égorgés ; tout est prêt : venez au repas de noce.’
Mais ils n’en tinrent aucun compte et s’en allèrent, l’un à son champ, l’autre à son commerce ;
les autres empoignèrent les serviteurs, les maltraitèrent et les tuèrent.
Le roi se mit en colère, il envoya ses troupes, fit périr les meurtriers et brûla leur ville.
Alors il dit à ses serviteurs : ‘Le repas de noce est prêt, mais les invités n’en étaient pas dignes.
Allez donc aux croisées des chemins : tous ceux que vous rencontrerez, invitez-les au repas de noce.’
Les serviteurs allèrent sur les chemins, rassemblèrent tous ceux qu’ils rencontrèrent, les mauvais comme les bons, et la salle de noce fut remplie de convives.
Le roi entra pour voir les convives. Il vit un homme qui ne portait pas le vêtement de noce,
et lui dit : ‘Mon ami, comment es-tu entré ici, sans avoir le vêtement de noce ?’ L’autre garda le silence.
Alors le roi dit aux serviteurs : ‘Jetez-le, pieds et poings liés, dehors dans les ténèbres ; là il y aura des pleurs et des grincements de dents.’
Certes, la multitude des hommes est appelée, mais les élus sont peu nombreux. »

——————————————————————————————————————

Je suis heureux que le Royaume des cieux soit comparable à la célébration des noces. C’est la joie et la fête d’un mariage. Je vois bien le bonheur de la rencontre des invités pour partager un évènement qui touche à cœur notre hôte.

Faut-il encore que j’accepte et honore l’invitation ? Le refus de présence constituerait à affront à notre hôte. Pardon et pitié Seigneur pour toutes les fois que je reste affairer à mon business, mes petites choses. Je suis enfuis dans mon ‘moi’ pour me pas prendre en compte l’invitation offerte à te rejoindre dans Ta célébration et Ton festin. Et oui par exemple le grand grand Patron omni présent, Tu m’invites à s’entretenir avec Toi tout le temps, plus particulièrement le matin au réveil, avant chaque repas, et le soir. Combien de fois, je suis dans mon ‘moi’ et je ne soucis pas de Ton ‘standing’ invitation. Il y a-t-il matière pour Tu sois en colère contre moi ?

Ingrat, je le suis. Je mérite bien un châtiment Seigneur.

Et pourtant dans Ta bonté Tu continues à me combler de Tes grâces. Tu dispenses de Ta générosité à travers de mon entourage, mon épouse, les enfants et petits enfants, la grande famille, les amis, les soignants, les aides domestiques, et toute une foule de gens qui Tu places sur mon chemin. Ai-je le droit de refuser Ton invitation ? Il me manque que ma conscience et de prendre acte. Il me suffit de me revêtir de ce vêtement de noce- l’intention et la volonté d’être présent- et d’être de la célébration.

Donne-moi Seigneur Dieu, miséricordieux et plein d’amour, d’être parmi les élus !

Jean Marie Le Clezio

Tous mauriciens ne peuvent rester insensibles à l’attribution du prix Nobel de littérature 2008 à Jean Marie Le Clézio. Homme planétaire car il a vécu et a travaillé dans des nombreux pays tant sur les continents Africain, Européen, Asiatique ou Américain. Interroger par Adam Smith l’éditeur en chef du site web nobelprize.org, sachant qu’il était un globe-trotter, il avoua, sans équivoque, son homeland est belle et bien l’ile Maurice. Merci Jean Marie Le Clézio pour ton attachement à notre Ile. Merci pour le cadeau que tu nous fait. J’espère réentendre ce cri de cœur pour Maurice encore à la cérémonie d’investiture des prix Nobel au mois de décembre en suède.

AS] Thank you so much. You’re an inhabitant of many countries but we catch you in France now, is that correct?

[J-MGLC] Yes, yes. I am in France presently. Normally I am going to Canada in a few days, but I’m still in France now.

[AS] And given that you were brought up in many countries and you’ve lived around the world, is there anywhere that you consider to be home?

[J-MGLC] Yes, in fact, I would say that Mauritius, which is the place of my ancestors, is really the place I consider my small homeland. So, this would be Mauritius definitely.

Auteur de nombreux ouvrages il semble avoir de la nostalgie de chez lui, en observant la disparition graduelle d’un mode de vie dans les iles de l’Océan indien : résultat d’une poussée rapide et inexorable de la globalisation. Raga: approche du continent invisible (2006).

Une bibliographie féconde :

Le procès-verbal. – Paris : Gallimard, 1963

Le jour où Beaumont fit connaissance avec sa douleur. – Paris : Mercure de France, 1964

La fièvre. – Paris : Gallimard, 1965

Le déluge : roman. – Paris : Gallimard, 1966

L’extase matérielle . – Paris : Gallimard, 1967

Terra amata. – Paris : Gallimard, 1967

Le livre des fuites : roman d’aventures. – Paris : Gallimard, 1969

La guerre. – Paris : Gallimard, 1970

Haï. – Genève : Skira, 1971

Mydriase. – Montpellier : Fata Morgana, 1973

Les géants. – Paris : Gallimard, 1973

Voyages de l’autre côté. – Paris : Gallimard, 1975

L’inconnu sur la terre. – Paris : Gallimard, 1978

Vers les icebergs. – Montpellier : Fata Morgana, 1978

Voyage au pays des arbres. – Paris: Gallimard, 1978

Mondo et autres histoires. – Paris : Gallimard, 1978

Désert. – Paris : Gallimard, 1980

Trois villes saintes. – Paris : Gallimard, 1980

Lullaby. – Paris : Gallimard, 1980

La ronde et autres faits divers. – Paris : Gallimard, 1982

Celui qui n’avait jamais vu la mer ; suivi de La montagne du dieu vivant. – Paris : Gallimard, 1982

Balaabilou. – Paris : Gallimard, 1985

Le chercheur d’or. – Paris : Gallimard, 1985

Villa Aurore ; suivi de Orlamonde. – Paris : Gallimard, 1985

Voyage à Rodrigues. – Paris : Gallimard, 1986

Le rêve mexicain ou la pensée interrompue. – Paris : Gallimard, 1988

Printemps et autres saisons. – Paris : Gallimard, 1989

La grande vie ; suivi de Peuple du ciel. – Paris : Gallimard, 1990

Onitsha. – Paris : Gallimard, 1991

Étoile errante. – Paris : Gallimard, 1992

Pawana. – Paris : Gallimard, 1992

Diego et Frida. – Paris : Stock, 1993

La quarantaine. – Paris : Gallimard, 1995

Poisson d’or. – Paris : Gallimard, 1996

La fête chantée. – Paris : Le Promeneur, 1997

Hasard ; suivi de Angoli Mala. – Paris : Gallimard, 1999

Coeur brûlé et autres romances. – Paris : Gallimard, 2000

Révolutions. – Paris : Gallimard, 2003

L’Africain. – Paris : Mercure de France, 2004

Ourania . – Paris : Gallimard, 2006

Raga : approche du continent invisible. – Paris : Seuil, 2006

Ballaciner. – Paris : Gallimard, 2007

Ritournelle de la faim. – Paris : Gallimard, 2008

Notice biobibliographique

Jean-Marie Gustave Le Clézio est né le 13 avril 1940 à Nice, mais ses deux parents avaient de fortes attaches familiales avec l’île Maurice, ancienne colonie française, conquise par les britanniques en 1810. À l’âge de 8 ans Le Clézio part avec le reste de sa famille habiter au Nigéria, où le père est resté comme médecin pendant la deuxième guerre mondiale. Durant le mois que prend la traversée en bateau vers le Nigéria, il débute sa carrière d’écrivain en composant deux petits livres, Un long voyage et Oradi noir, qui contiennent même une liste des “ouvrages à paraître”. Il grandit avec deux langues, le français et l’anglais. Après le baccalauréat en 1957 il fait des études d’anglais à l’université de Bristol 1958-59 et celle de Londres 1960-61. Après avoir obtenu son diplôme de premier cycle à l’université de Nice (Institut d’Études Littéraires) en 1963, il termine ses études de niveau supérieur à l’université d’Aix-en-Provence en 1964 et achève son doctorat sur l’histoire ancienne du Mexique à l’université de Perpignan en 1983. Il a enseigné entre autres aux universités de Bangkok, de Mexico City, de Boston, d’Austin et d’Albuquerque.

Le Clézio suscite beaucoup d’attention avec son premier roman Le procès-verbal (1963). En tant que jeune écrivain dans le sillage de l’existentialisme et du nouveau roman, il est un conjurateur qui essaie d’extraire les mots de l’état dégénéré du langage quotidien, et de leur infuser de nouveau la force évocatrice d’une réalité essentielle. Ce premier livre introduit une suite de descriptions d´état de crise, qui inclue également le recueil de nouvelles La fièvre (1965) et Le déluge (1966), où il dénonce le trouble et la peur inhérents aux grandes villes occidentales.

Très tôt Le Clézio se situe comme un écrivain écologiste engagé, une orientation qui s’accentuera avec les romans Terra amata (1967), Le livre des fuites (1969), La guerre (1970) et Les géants (1973). Sa consécration définitive en tant qu’auteur romanesque arrive avec Désert (1980), pour lequel il est couronné d’un prix par l’Académie française. L’ouvrage contient des images grandioses d’une culture perdue dans le désert de l’Afrique du nord, qui contrastent avec une description de l’Europe vue à travers le regard des immigrants indésirés. Le caractère principal, Lalla, la travailleuse étrangère algérienne, est un antipode utopique à la laideur et la brutalité de la société européenne.

Le Clézio publie parallèlement avec ces romans des essais méditatifs L’extase matérielle (1967), Mydriase (1973) et Haï (1971), ce dernier montrant des influences d’une culture indienne. De longs séjours au Mexique et en Amérique centrale entre 1970 et 1974 ont une importance marquante pour son oeuvre, et il choisit de s’éloigner des grandes villes pour trouver une nouvelle réalité spirituelle au contact des amérindiens. Il rencontre Jemia, d’origine marocaine, qui deviendra son épouse en 1975, la même année que la publication du Voyage de l’autre côté, un livre où il relate ce qu’il a appris en Amérique centrale. Le Clézio commence la traduction des grandes oeuvres de la tradition amérindienne, comme Les prophéties du Chilam Balam. Le rêve mexicain ou la pensée interrompue (1988) témoigne de sa fascination pour le passé grandiose du Mexique. Depuis les années 90 Le Clézio et sa femme se partagent entre Albuquerque au Nouveau Mexique, l’île Maurice et Nice.

Le chercheur d’or (1985), traite du sujet des îles de l’Océan indien dans l’esprit du roman d’aventures. L’attirance de l’écrivain pour le rêve du paradis terrestre apparaît au cours des dernières années dans des livres comme Ourania (2005) et Raga: approche du continent invisible (2006), ce dernier étant consacré à documenter la vie menacée de disparition dans les îles de l’Océanie lorsque la globalisation s’impose, le premier étant situé dans une vallée perdue du Mexique, où le caractère principal, l’alter ego de l’écrivain, rencontre une colonie de chercheurs qui a regagné l’harmonie de l’âge d’or et a abandonné les usages pernicieux de la civilisation, dont celui des langues courantes.

Le point central de l’oeuvre de l’écrivain se déplace de plus en plus en direction d’une exploration du monde de l’enfance et de sa propre histoire familiale. Cette tendance débute avec Onitsha (1991), continue de façon plus explicite avec La quarantaine (1995) pour culminer dans Révolutions (2003) et L’Africain (2004). Révolutions recouvre les thèmes les plus importants de l’écrivain: la mémoire, l’exil, les ruptures de la jeunesse, le conflit des cultures. Des épisodes issus de périodes et de lieux différents sont placés les uns à côté des autres: les années d’apprentissage du personnage principal pendant les années 50 et 60 à Nice, Londres et Mexique, les expériences de l’aïeul breton qui fut soldat de l’armée de la révolution entre 1792-94 et l’émigration pour l’île Maurice afin d’éviter la répression de la société révolutionnaire, ainsi que le récit d’une esclave au début du 19ème siècle. Parmi les souvenirs d’enfance se trouve enfoui le récit de la visite du personnage principal à la soeur de son grand-père paternel, dernière détentrice de la tradition familiale issue de la propriété perdue de l’île Maurice, qui transmet les souvenirs dont l’écrivain prendra possession dans son oeuvre.

L’Africain est l’histoire du père de l’écrivain, tout à la fois reconstruction, opération rédemptrice de l’honneur, et mémoire de la vie d’un garçon à l’ombre d’un étranger qu’il se doit d’aimer. Il se souvient à travers le paysage: l’Afrique lui raconte qui il était la fois où, enfant âgé de huit ans, il fait l’expérience de la réunion de la famille après le divorce des années de guerre.

Parmi les derniers ouvrages issus de la plume de Le Clézio, citons Ballaciner (2007), un essai profondément personnel sur l’histoire de l’art cinématographique et sur l’importance du film dans la propre vie de l’écrivain, depuis le projecteur à manivelle de l’enfance en passant par le culte de l’adolescence pour les tendances des cinéastes en vogue, pour atterrir à l’âge adulte dans l’art cinématographique de contrées du monde inconnues. Une nouvelle oeuvre Ritournelle de la faim vient d’être publiée.

Le Clézio a aussi écrit plusieurs livres pour les enfants et la jeunesse, par exemple Lullaby (1980), Celui qui n’avait jamais vu la mer suivi de La montagne du dieu vivant (1982) et Balaabilou (1985).

Prix littéraires: Prix Théophraste Renaudot (1963), Prix Larbaud (1972), Grand Prix Paul Morand de l’Académie française (1980), Grand Prix Jean Giono (1997), Prix Prince de Monaco (1998), Stig Dagermanpriset (2008)