Budapest

La musique tzigane est confondue avec la musique hongroise. J’étais élevé dans cette musique Tzigane que mon père adorait. Ainsi la Hongrie c’est d’abord et avant tout la musique. Déjà Tsardash retentit dans mon être et vive ce mélodieux son de la musique gitane. Mon père nous faisait écouter des notre berceau de son gramophone ces 78 tours des Valses et musique Gitane d’Hongrie.

Quelle merveille d’atterrir la semaine dernière à Budapest. J’ai passé un moment fort agréable dans des conditions excellentes. Une découverte d’histoires et la visite d’une ville qui a connue son apogée dans elle était la capitale de l’empire Austro-hongrois des années 1870.

J’ai eu droit à une intervention d’un expert dans la matière qui nous a conté les 1500 ans d’histoire de la Hongrie en 50 minutes. Le temps impartie semblait plus tôt à 5 minutes tellement j’étais accroché a ses lèvres. J’étais totalement absorbé par la présentation et maintenant je suis un fan de la Hongrie et les hongrois. Depuis j’ai pris á l’assaut wikipedia pour me documenter encore mieux.

Une histoire de la langue hongroise incompréhensible mais  fascinante!

Magique je qualifierai de ma visite, car c’est en Hongrie qu’est né le grand Houdini.

1 comment so far ↓

#1 joseph on 04.07.09 at 8:45 pm

Le hongrois:
Une langue agglutinante est, en typologie morphologique, une langue dans laquelle le vocabulaire est formé en assemblant des éléments basiques (souvent) invariables.

Parmi les langues agglutinantes figurent notamment : le basque, le coréen, l’estonien, le finnois, le hongrois, le japonais, le nahuatl, le géorgien, l’abkhaze, le swahili, les langues turques, le zoulou. L’inuit est aussi une langue agglutinante, mais appartient à un type de langue agglutinante particulier : les langues polysynthétiques. L’espéranto, comme certaines langues construites à visée internationale, possède également des mécanismes d’agglutination.

L’agglutination est une caractéristique dominante de certaines familles linguistiques ; ainsi les langues altaïques et les langues ouraliennes.

Exemples [modifier]

* En finnois, la forme taloissani (Dans mes maisons) se décompose en : talo « maison » i marque du pluriel ssa marque de l’inessif (« dans ») ni suffixe indiquant un possesseur de première personne du singulier (« mon, ma, mes »), la forme uidessani « pendant que je nage » est construit sur uida « nager » ssa ni ;

* En turc, la construction est très similaire : à partir de ev (maison) on forme : evler (les maisons), evlerim (mes maisons), puis evlerimde (dans mes maisons).

* En japonais, samukunakatta deshō ka (Il ne faisait pas si froid que ça, non ?) se décompose en samui (froid) kunai (négatif) katta « passé » deshō sorte de conditionnel adoucissant ka, marque classique de l’interrogatif.

* En espéranto, la formation des mots suit des processus d’agglutination. Par exemple, malsanulejo (hôpital) se décompose en mal (contraire de) san (sain) ul (homme) ej (lieu) o (substantif). Cependant, l’espéranto n’admet pas l’agglutination complexe, au sens des exemples ci-dessus.

Le terme de langue agglutinante a été créé en 1836 par le linguiste allemand Wilhelm von Humboldt. Il est formé à partir du verbe latin agglutinare, signifiant « coller ensemble ».

Traditionnellement, les langues agglutinantes se distinguent des langues flexionnelles et des langues isolantes.

Nota bene : une langue agglutinante ne se définit pas uniquement par sa grande capacité à créer des mots composés. Ainsi, l’allemand, malgré une forte capacité de composition (Donaudampfschifffahrtsgesellschaft = Société de navigation à vapeur du Danube), ne fait pas partie des langues agglutinantes. Le principe de la composition (nominale, verbale ou autre) se trouve dans un grand nombre de langues qui peuvent par ailleurs avoir un fonctionnement grammatical global très différent.

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