Milk in Mauritius

We shall have to modify our eating and drinking habits. The price of milk and milk derivative products is likely to reach higher price. In Mauritius, the production of milk is negligible in comparison to our consumption: Mauritius dependents on imports mainly from Australia, Europe and South Africa. We all recall the flop that the government State Trading Corporation had to face with the import of Indian milk.

The world scene of milk production and consumption is indicating a sharp increase of world market price.

In Europe, the price of cattle feeds has shot up as demand increases. The demand for milk and milk products are increasing so rapidly that the EC stock reserves are depleted and EC is considering increasing the production quotas. However the cycle to start production of milk will take some time. The higher demand comes from developing countries and mainly China.

In Australia, a large country producer of milk, the last drought has affected the production. The accrued demand for export has driven the export prices to new heights. This has resulted in a decreased export volume of production at higher prices.

Where do we in Mauritius stand in the face of this situation? What can we do?

Well change our eating and drinking habits. Do we need to eat Ras malai every week? Do we need to drink Alouda so often? With the rising price of gateau ‘dilait’ can be afford to eat them? We are under the tyranny of our purse. Last week our flat neighbour offered us some Soya milk, since she tried out her Soya milk making machine. For breakfast, I ventured to add the vegetarian fat free Soya milk to my brewed cup of Golden Pekoe tea. How awful! The pinch of my purse is not painful enough for me to accept the change in taste. However I sampled a cold glass of vanilla flavoured Soya milk drink; I was delighted.

The pinch of the purse will definitely drive the change in habits of the Mauritian.Adieu mon morceau de Camembert!

8 comments ↓

#1 joseph on 08.09.07 at 2:41 pm

In 2004, the world production of milk totalled 514 million tons vs. 513 million in 2003, and that of cheese was 4.7 million tons vs. 4.6 million. The world production of butter was 3.90 million tons vs. 4.28 million in 2002, that of full-fat powdered milk was 3.05 million tons vs. 3.03 million and that of low-fat milk powder was 3.0 million tons vs. 3.20 million. Development of the dairy sector was stagnant in Europe and North America, but increased markedly in Brazil, Mexico, Argentina, India and Pakistan. The production of buffalo milk accounted for 15% of total milk production vs. 9% 10 yeas ago, and 90% of buffalo milk was produced in India and Pakistan. The production of UHT, fresh cheese and yoghurt increased, whereas that of fresh milk decreased.

Publisher: Casa Editrice Tecniche Nuove

#2 Yashvin on 08.09.07 at 4:02 pm

lol, got to try that soya milk to decide the future about milk expense in my list…

#3 Olivier on 08.09.07 at 6:03 pm

Interestingly, I read on BBC News that China is increasing its consumption of milk considerably.
http://news.bbc.co.uk/1/hi/magazine/6934709.stm
A related phenomenon?

#4 joseph on 08.10.07 at 1:10 pm

I was surprised to see that the MBC in last night news mentioned the rising costs of Milk world wide and the sudden surge of the prices in July 2008. The price of Soya milk is still very high in Mauritius as it is a home manufactured.

#5 joseph on 08.18.07 at 2:04 pm

L’express today : Le marché du lait en ébullition
http://www.lexpress.mu/display_article.php?news_id=92249

#6 Chervine on 08.18.07 at 6:36 pm

I think its time for us to produce our milk locally. A milk produced 100% in Mauritius!
Papers say that Mauritians have too much money in banks! So instead of this why not invest in milk production.
As a result, both consumers and the government [ in terms of balance of payments or whatever] will benefit on a long term !

#7 joseph on 08.19.07 at 2:11 pm

Good idea to work towards a higher production of Milk in Mauritius. Will it be economically feasible?
see the latest Weekend paper today on the subject:
Denrée de base

Lait en poudre: Prix stables, mais pas l’approvisionnement !

Le lait vendu au marché noir. Difficile d’établir ce fait. Mais les craintes de pénurie et de nouvelles augmentations se sont transformées en psychose chez les consommateurs. Un phénomène nouveau, mais attendu, car la tendance serait, actuellement, de stocker son lait chez soi pour se mettre à l’abri de, surtout, d’une éventuelle pénurie. Dans l’immédiat, il y a bel et bien un manque sur le marché. Les boîtes ou sachets en carton ne font plus long feu sur les étagères des supermarchés. À vendredi, Red Cow faisait cavalier seul sur les étagères de supermarchés, alors que les autres marques, Twin Cow ou Farmland jouaient aux abonnés absents. Ce même schéma risque de s’inverser cette semaine avec le retour de ces dernières marques, alors que celle de Red Cow serait une rupture de stock chez les suppliers.

La marque Red Cow: elle n’est pas présente en grande quantité, mais elle est tout de même présente sur la majorité des points de vente de l’île. Mais à partir de la semaine, cette même marque pourrait se faire encore plus discrète, les exportateurs appréhendant une rupture de stock avant terme. Deux raisons sont mises en avant pour expliquer cette instabilité au niveau de l’approvisionnement. En l’absence des autres marque – ou disponibles en très petite quantité -, les consommateurs ont “shifté” d’une marque à l’autre et les craintes de pénurie et un changement dans la façon de consommer. “Les clients achètent plus. Quitte à “shifter” vers d’autres marques. Ce qui explique que nos stocks de lait, quelle que soit la marque, s’épuisent rapidement, d’autant plus que la livraison se fait à compte goutte”, explique le directeur d’un supermarché.

En effet, la livraison de lait fonctionne au ralenti ou alors les commandes sont respectées à moitié seulement. “Nous avons commandé 100 boîtes cette semaine, mais nous n’en avons reçu que 50”, confirme un commerçant. Dans ce même milieu, on soupçonne également les petits commerces, à part les consommateurs, de faire main basse sur les stocks disponibles dans les supermarchés. “Tout porte à croire que c’est le cas. Le manque de lait et les augmentations successives font que certains conservent un petit stock pour se faire du profit. Nous ne dirons pas qu’ils en vendent ou en vendront au marché noir, faute de preuves. Mais il y a des choses bizarres qui se passent sur le marché”, ajoute un commerçant.

Du côté des importateurs, on garde confiance que la situation devrait se stabiliser durant ces deux prochaines semaines, mais sans pour autant donner des garanties que “tout le monde en aura pour son compte”. Certains annoncent que les marques habituelles devraient refaire leur apparition dans les boutiques et supermarchés cette semaine avec l’arrivée de nouvelles cargaisons cette semaine. L’approvisionnement a été rendu difficile ces dernières semaines pour ceux important de la Nouvelle Zélande qui, apprenons-nous, vient de redémarrer sa saison de production. Pour la majorité des importateurs, il faudra vraisemblablement attendre le mois d’octobre pour que la situation se stabilise.

La bonne nouvelle, par contre, c’est que le prix du lait ne devrait connaître aucune augmentation à la fin de ce mois. “Le prix devrait rester le même”, affirment les importateurs. Mais ceux s’approvisionnant sur la Nouvelle Zélande ou en Australie ne devraient connaître qu’un court moment de répit d’après les dernières prévisions. “There are predictions the domestic price of milk is set to keep climbing and other key grocery items may follow”, rapporte la presse néo-zélandaise qui, se fondant sur les derniers indices des prix, brosse un tableau plutôt sombre pour les mois à venir.

“Lincoln University Agribusiness Professor Keith Woodford, says New Zealand has little control over prices in a booming global commodities market. He expects there will be further domestic milk price rises this year and other grocery staples such as bread, flour and meat will probably also increase”, est-il indiqué.

Les prévisions sont tout aussi pessimistes en Europe. La crise est inévitable, indiquent les analystes, qui anticipent un sérieux déséquilibre sur le marché mondial et une augmentation en chaîne de produits dérivés, tels le yaourt, le beurre ou le fromage.
At a higher world price may be the production of milk in Mauritius could be justified. When?????

#8 Chervine on 08.21.07 at 10:55 am

When, u invest !!
From what i heard, it seems that the major importers of milk for Mauritius have proposed the idea to the minister of commerce and its going on…
U know Mauritius, with all red-tapes and political factors and other “crap of factors”, may be i some 10 years time !!!

Leave a Comment