Fresh Fish for sales

lorry

Recently I saw that the progress in quality of Fresh Fish sales. Stationed in different locations at different times fresh fish is sold in different locations of the island by a roaming truck. What a difference from the ‘Banian’, fish monger who travels on his motorcycle carting his lot of fish in his doubtfully clean basket at ambient hot temperature!

I gathered from my wife that over the radio there was again some talk on fish farming. Whilst it may be true that 6 kgs of wild fish are required to breed 1 kg of farmed fish the question to be asked is: are the 6kgs of wild fish used to make the feed consumable in form and taste to the population? On the other hand it is rumored that the feed used contain elements that are unsafe from health, some even mentioned pork meat? As far Ferme Marine de Mahebourg is concerned, after inquiry, I was assured that the feed used are to the standard of the EEC which stipulates that the farm uses feed that are natural , non toxic and animal free.

According to the FAO the share of farm fish in the world consumption is increasing. However it is necessary to regulate Fish Farming to norms that are eco friendly and to adopt practices that are development sustainable. As such, I am sure that the government who’s role is to be the watchdog has to ensure that operator’s abide to rules that are set.

Surprisingly enough, you must have heard or even seen TV documentary on the infamous breeding of Pengasius in Vietnam and in the Mekong area, and yet the European Community is still authorising the import of the fish in its territories. Is it a case of a few infamous producers that are creating adverse publicity to the healthy industry?

Mauritius is a relatively large Ocean country and its future may well be exploiting its sea potential of which Marine Fish Farming is one of them.

4 comments ↓

#1 joseph on 07.30.09 at 1:19 pm

Please find below our tentative schedule for the mobile van. This will be valid for at least the next two weeks:

Tuesdays: In the parking of London Way – Riviere Noire – 12h00 – 17h00.
Wednesdays: Flacq – near Telecom 7h00 – 12h00.
Thursdays: Blue Bay Public beach (near Police station) – 12h00 – 17h00
Fridays: Winners Vacoas – 12h00 – 18h00
Saturdays: Pereybere (Stephen boutique) 10h00 -13h00 then Winners Forest-Side – 14h00 – 18h00
Sundays: Arsenal street, Port-Louis – 7h00 – 11h00

#2 joseph on 08.02.09 at 12:16 pm

I read with pleasure the article of Fish sales in Mauritius on this Sunday on l’express:
CONSOMMATION
Du poi( s) son dans l’assiette

L.évocation des conditions d.élevage «inadmissibles »du panga au Vietnam alancé le débat autour de la traçabilité du poisson vendu sur le marché local. De la mer ànotre assiette, celui- ci peut passer entre les mains de plusieurs personnes. Comment retracer ce parcours ? Est- il des plus sûrs pour notre santé ?Le point.

L e poisson que vous achetez sur le bord des routes, au marché ou dans les supermarchés est- il des plus frais ? Pas si sûr. En effet, celuici, avant d’arriver sur les étals, peut parfois transiter par plusieurs mains. « Le banian , qui achéte directement du pêcheur est bien souvent un grossiste. Il va vendre son produit à un autre qui est lui- même un autre type de grossiste, et ainsi de suite » , explique Judex Ramphul, président du syndicat des pêcheurs.

Et aprés un tel parcours, on peut douter de la fraîcheur du produit. Surtout qu’il est difficile de déterminer si les normes d’hygiéne et la chaîne du froid ont été scrupuleusement respectées.

Cette semaine, les autorités ont interdit la vente du panga nourri aux déchets provenant des égouts . Une méthode d’élevage considérée comme étant potentiellement dangereuse pour la santé publique. Mais les exemples de pratiques douteuses et dangereures dans le commerce du poissson sont nombreuses.

A commencer par les nombreux va- et- vient du poisson frigorifié entre le site de vente en plein air et le frigo. Une pratique qui constitue un véritable foyer d’intoxication. Il y a également certains vendeurs de poisson qui éteignent leurs frigos dans le seul but de faire des économies d’électricité.

Mais ce n’est pas tout. Dans certains cas, le poisson peut devenir un véritable poison à cause de pratiques malhonnêtes de certains marchands.

Par exemple, l’immersion volontaire des produits de mer dans de l’eau avant de les frigorifier. Le but de cette opération : augmenter le poids des poissons d’au moins 10 %. Certains commerçants vont même jusqu’à prolonger la date de péremption en remplaçant les étiquettes. D’autres arrosent les poissons frigorifiés avec de l’eau pour leur donner l’aspect d’un produit frais. Bref, des pratiques dangereuses et difficilement retraçables.

Vente aux enchéres

Toutefois, Roland Lafranche, pêcheur de la région de l’Est, soutient que la traçabilité est possible dans le systéme de vente traditionnelle.

« Un banian est capable d’identifier le pêcheur qui lui a vendu sa prise. Un pêcheur d’expérience est capable de repérer les poissons de sa région. Un poisson pêché dans les eaux de la région de Port- Louis n’a ni le même aspect ni le même goût qu’un poisson de la région de Poudre d’Or, par exemple. » De plus, la traçabilité est entrée dans les moeurs chez certains gros opérateurs. Stratégie commerciale oblige, ces fournisseurs comme Ireland Blyth , Panagora, Happy World, vendent tous leurs produits avec leur propre label. « Nos produits de mer sont vendus sous le label Sea Lord » , explique Henraj Ghina, directeur du National Cold Storage . « Si un consommateur a des griefs contre notre compagnie, il est facile de remonter jusqu’à nous. Avoir une étiquette sur son produit est non seulement une stratégie commerciale mais une obligation envers les consommateurs. » Toutefois, les problémes de traçabilité et de doutes autour de la fraîcheur des poissons pourraient être résolus avec la mise en place imminente d’un systéme de vente aux enchéres de poisson dans les environs de Fort William, à Les Salines. Le but du projet est de mettre de l’ordre sur le marché de la vente et de l’achat des fruits de mer sur le marché local. Ainsi, toutes les prises effectuées aux quatre coins de l’île seront mises en vente aux Salines.

A noter que la mise aux enchéres est synonyme de mise en concurrence. Pour prétendre vendre ses produits sur le marché aux enchéres, les fournisseurs vont devoir respecter certains critéres dont les normes sont calquées sur celles en vigueur dans les pays faisant partie de l’Union européenne.

« Je suis persuadé que la solution se trouve dans la vente aux enchéres. La mise en concurrence pour un prix précis va contraindre les fournisseurs à révéler leur identité tant aux autorités qu’aux acheteurs. Avec les formalités, on aura aucun mal à remonter au fournisseur » , explique Judex Ramphul.

Un label pour distinguer les méthodes de pêche

Par ailleurs, Henraj Ghina souhaite qu’il y ait un label spécifique pour distinguer les poissons par rapport à la méthode de pêche. « Nos prises sont ramenées par les pirogues deux fois par jour. La période d’exposition du poisson à l’air libre est donc relativement courte. En revanche, chez certains opérateurs, les prises ne sont pas ramenées le même jour. Elles sont conservées dans de la glace avant d’être stockées dans des chambres froides. » Et qu’en est- il du poisson importé ? A ce niveau- là, il n’y aurait aucun probléme de traçabilité. Les documents qui accompagnent l’importation du produit permettent de remonter aux fournisseurs.

Et la division des pêches du ministére de l’Agro- industrie est chargée d’exercer un contrôle des plus rigoureux.

#3 joseph on 08.02.09 at 12:25 pm

As far as imported fish is concerned, I follow closely the trend from the FAO bulletins to which I subscribe.

http://www.globefish.org/dynamisk.php4?id=4740

Exports resume in major markets

Egypt has affirmed its official resumption of granting permits for Vietnamese pangasius to be exported to Egypt. Recently, incorrect information about Vietnamese pangasius was published in Egyptian newspapers, implying that pangasius was unsafe for consumers. The misinformation resulted in negative perceptions by Egyptian consumers, forcing the Egyptian Embassy in Hanoi to halt temporarily the granting of permits to local traders to export pangasius to Egypt. Egypt is the sixth most important market for pangasius and imported some 26 600 tonnes in 2008.

Viet Nam plans to export 100 000 tonnes of pangasius to Russia this year, after that country lifted an import ban in April 2009. Last year 118 000 tonnes of the fish were shipped to Russia before pangasius imports were prohibited in late December 2008. It was put in place after some shipments of Vietnamese seafood were found to be contaminated with banned chemicals. Russian authorities also claimed that Vietnamese exporters progressively lowered prices to compete with one another, hurting Russian importers. Russian authorities have now fixed a minimum price of RUB 78/kg (USD 2.30/kg) a kilogram. Violators will be fined USD 50 000 and banned from importing Vietnamese seafood.

At the end of June 2009, Viet Nam had exported over 10 000 tonnes of tra and basa fish at USD 3.10/kg to Russia since 25 April 2009 when Russia officially reopened its market to Vietnamese fish. In July alone, another 15 000 tonnes of fish are expected to be shipped to Russia, as a number of Russian importers asked for more of tra and basa from Viet Nam in the form of both packaged fillet and whole fish. Apart from Russia, demand from many other foreign importers such as East European, African and American countries are strong.

In May 2009 the New Zealand Federation of Commercial Fishermen attacked a government move to allow the import of catfish from Viet Nam, saying it could dominate the fish and chips trade and ruin the local industry. The market for New Zealand’s hoki dropped by 90% when Vietnamese catfish imports were allowed into Australia,

US imports of catfish (including pangasius) declined somewhat in the first three months of the year: some 11 500 tonnes were imported during the first quarter of 2009, 7% less than in the same period of 2008. While Viet Nam, the top exporter of catfish to the US market reported a modest increase in exports, Chinese catfish exports dropped sharply, probably in reaction to more strict sanitary controls by US inspectors.

#4 hassan boubguira on 09.01.09 at 2:54 pm

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