November 9th, 2008 — Messe, Reflexion
La lecture de l’épitre aux Thessaloniciens (1Th 4 13-18) à la messe, ce matin m’a renforcé ma foi. Un moment de doute s’était installé chez moi, après avoir reçu les nouvelles de la mort soudaine de ma cousine Florise quelques jours auparavant. Pourquoi cette mort subite ? Elle, la courageuse qui s’était fixé l’objectif de soulager son fils atteint de cancer, et de soigner son vieux époux malade depuis quelques années. Le Seigneur a opté pour son heure du départ contre toute attente. Elle qui vient de subir une intervention chirurgicale réussie et était en traitement d’un cancer en prévention.
Merci pour Ta réponse. Je crois que Jésus est mort et qu’il est ressuscité, Dieu ramènera par Jésus avec lui ceux qui sont morts. Florise ma cousine est du lot. Je prie a sa famille d’être consolée.
Nous ne voulons pas, frères, que vous soyez dans l’ignorance au sujet de ceux qui dorment, afin que vous ne vous affligiez pas comme les autres qui n’ont point d’espérance.
Car, si nous croyons que Jésus est mort et qu’il est ressuscité, croyons aussi que Dieu ramènera par Jésus et avec lui ceux qui sont morts.
Voici, en effet, ce que nous vous déclarons d’après la parole du Seigneur: nous les vivants, restés pour l’avènement du Seigneur, nous ne devancerons pas ceux qui sont morts.
Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement.
Ensuite, nous les vivants, qui seront restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur.
Consolez-vous donc les uns les autres par ces paroles.
November 8th, 2008 — Entrepreneurship, Environment, Mauritius
Paru sur le journal LA CROIX avril 2008
Et quid de Maurice ? Qui bénéfice du même ensoleillement que La Réunion ?
Le bon élève de l’outre-mer veut expérimenter toutes les alternatives aux énergies fossiles pour atteindre 50 % d’autonomie électrique et la région rêve même d’une indépendance à 100 %
La Réunion ? « Un petit laboratoire des problèmes du monde », affirme son président de région, Paul Vergès. Cette île paradisiaque habitée depuis trois cent cinquante ans, cet éruptif lopin de terre de l’océan Indien d’une superficie inférieure au tiers de la Corse, est un concentré des soubresauts de la planète.
L’île est particulièrement exposée à la pression démographique : les habitants, 250 000 au sortir de la guerre, sont aujourd’hui 800 000 et atteindront le million dans moins de vingt ans. Elle est spécialement menacée par le réchauffement climatique en raison des prévisions de violence accrue des cyclones. Et sévèrement chahutée par la mondialisation : 2013 sonnera le glas du soutien à la filière sucre, base de l’économie locale, et « les bateaux lancés sur les autoroutes maritimes mondiales feront de moins en moins le crochet par l’île », pronostique Paul Vergès.
Avec sa population cosmopolite de descendants de marins et colons européens, d’anciens esclaves africains et de migrants venus d’Inde et de Chine, le métissage biologique et culturel de la Réunion est tel que « nous sommes tous des descendants d’étrangers et d’immigrés », poursuit le président de la région, faisant de l’île le reflet avant-gardiste de l’Europe multiethnique et multireligieuse de demain.
Une “écolonomie” à base de “négawatts”
Ainsi ce « laboratoire des problèmes du monde » peut être, plus qu’une terre de lamentation, un lieu d’expérimentation. Et La Réunion, qui a la réputation d’être le bon élève de l’outre-mer, entend jouer à fond son rôle de premier de la classe.
Son ambition ? Prouver sur ce territoire de 2 500 km2 que l’on peut éradiquer les émissions de CO2 et viser l’indépendance électrique grâce aux énergies renouvelables. Une obsession pour Paul Vergès qui avait présenté son projet d’indépendance énergétique de l’île dès 1999 à l’Unesco, mais avait à l’époque été accueilli avec quelque incrédulité.
Aujourd’hui, le gouvernement s’arrime à cette volonté réunionnaise pour faire de l’île la roue d’entraînement du Grenelle de l’environnement dans les DOM et de son objectif de 50 % d’énergies renouvelables outre-mer à l’horizon 2020.
« Paul Vergès est la première des énergies renouvelables à La Réunion », reconnaît André Antolini qui voue une « immense gratitude aux DOM ». « Les DOM, poursuit le président du Syndicat des énergies renouvelables, ont été de longues années un sanctuaire qui a permis le sauvetage de l’industrie française des énergies renouvelables. »
La Réunion bruit de cette nouvelle « écolonomie » ; un terme que le secrétaire d’État chargé de l’outre-mer, Yves Jégo, a repris à son compte lors de sa visite à La Réunion fin mars. Cette économie du développement durable est basée, pour l’électricité, sur la production de « négawatts » – parce que les meilleurs des watts sont ceux que l’on ne consomme pas – et sur la production de mégawatts d’origine renouvelable : éolien, solaire, biomasse et des projets tous azimuts en géothermie, énergie marine, stockage de l’électricité…
EDF vend de l’électricité à perte
« La seule centrale qui me fait gagner de l’argent, c’est la centrale à négawatts », confirme Jean-Louis Barbet, chef du pôle gestion du système électrique d’EDF à la Réunion. Car EDF vend l’électricité lourdement à perte sur l’île. « Un mégawattheure est vendu 90 €. Or, son coût de production s’élève à 145 € », explique-t-il. Chaque consommateur français finance la différence sur sa facture, au travers de la contribution au service public de l’électricité (CSPE). Donc, EDF a investi dans cette centrale à « négawatts » en aidant à la diffusion de 1,2 milliond’ampoules lampes basse consommation. « On a gagné 10 mégawatts », comptabilise le gestionnaire.
Autres grands économiseurs d’électricité : les 81 000 chauffe-eau solaires (CES) installés sur les toits – 10 000 de plus chaque année – pour un parc de 230 000 logements. « On a ainsi évité la construction d’une centrale thermique de 40 mégawatts », argumente Sylvain Viellepeau, directeur de Giordano, l’entreprise qui alimente 40 % du marché réunionnais des CES.
Mais le fleuron, ce sont les 400 m2 de modules solaires thermiques à usage industriel installés sur les toits des abattoirs Sicabat, à Saint-Pierre, qui traitent 12 000 tonnes de porc par an. « La plus grande installation thermique d’Europe », selon Sylvain Viellepeau, permet de porter chaque jour 60 000 litres d’eau à 65 °C pour nettoyer les 13 000 m2 de l’usine. Cette dernière a ainsi pu renoncer à acheter une nouvelle chaudière au fioul et économise 144 tonnes de CO2 par an.
Convaincue par l’intérêt du solaire, l’entreprise a loué 6 000 m2 de toit pour installer une centrale photovoltaïque qui sera opérationnelle début 2009. « L’engouement pour le solaire a déclenché une spéculation sur les toits : les toits sont préemptés par des baux de location dans le but d’y installer à terme des panneaux solaires », reconnaît Bertrand Dellinger, directeur général de BP Solar à la Réunion, l’entreprise qui avait, de manière pionnière, participé à l’électrification solaire des habitations de la zone montagneuse enclavée du cirque de Mafate, non raccordée au réseau électrique. 
Les lycées dans la course
La chasse aux toits a bel et bien démarré. Les 7 500 panneaux d’une puissance de 1,25 mégawatt crête (MWc) installés sur les 20 000 m2 de toiture d’une plate-forme logistique au Port fonctionneront le mois prochain. Sur la même commune du Port, qui s’est proclamée « ville solaire » lors d’une délibération du conseil municipal en décembre dernier, 10 000 panneaux solaires sont en cours d’installation sur les toits d’une centrale d’achats. Les 42 lycées de l’île sont dans la course : sept ont déjà leurs toits couverts, cinq sont en cours d’installation, les autres doivent suivre. Avec toujours en ligne de mire l’excellent gisement solaire de l’île, exploitable toute l’année, mais aussi la lourde contrainte du risque cyclonique qui impose d’arrimer les installations au toit ou au sol.
Le centre d’enfouissement technique de Sainte-Suzanne fait visiter son ancienne décharge. Les quatre hectares de terre ont été réhabilités en unité de production de biogaz (issu de la méthanisation des déchets) et en centrale solaire, une autre première mondiale à la Réunion. « Nous avons récupéré les anciens voussoirs d’un tunnelier (les morceaux de voûte de tunnel en béton) qui pèsent 1,2 tonne à l’unité pour lester nos modules solaires au sol afin qu’ils résistent à des rafales de vent de 250 km/h », explique Alain Orriols, directeur général de SCE, Société de conversion d’énergie.
C’est aussi à cause des cyclones que seules poussent sur l’île les éoliennes Vergnet, du nom de leur inventeur, Marc Vergnet (1). Ces éoliennes bipales à mât haubané et articulé à la base sont rabattables au sol en trois quarts d’heure et sont, de ce fait, les seules de la planète à résister aux cyclones. Elles brassent nonchalamment le vent sur les hauteurs de Sainte-Suzanne. « Nous sommes une commune moderne à la campagne », revendique Maurice Gironcel, maire de Sainte-Suzanne, avec à ses pieds la décharge devenue centrale électrique et au-dessus de sa tête le parc Aérowatt et ses éoliennes Vergnet qui projette de s’orienter vers un cocktail énergétique : des panneaux solaires au pied des éoliennes et du stockage d’électricité par pompage-turbinage (2).
“Comme si on écopait à la petite cuillère”
Avec ses réalisations, ses projets et ses premières mondiales, la Réunion avance-t-elle vraiment vers l’autonomie électrique ? « C’est comme si l’on écopait à la petite cuillère », confesse Jules Dieudonné, directeur du Prerure, le Programme régional d’exploration et d’exploitation des énergies renouvelables et de l’usage rationnel de l’énergie.
Il fait directement référence à ce que l’on appelle sur l’île « les ravages de la “défisc†», ces programmes immobiliers jouissant de la défiscalisation qui poussent sur l’île sans répondre à la moindre exigence de réglementation thermique.
Quarante mille climatiseurs et 20 000 chauffe-eau électriques sont ainsi importés chaque année… « La Réunion a été historiquement traumatisée par le cyclone dévastateur de 1948. Les toits des maisons ont été emportés, les habitations détruites. De ce jour, l’île a renoncé à l’habitat créole avec ses coursives, ses fenêtres à jalousie et sa ventilation naturelle pour s’orienter massivement vers la construction en béton, les toitures terrasses et les baies vitrées », explique Jean-Claude Futhazar, directeur de l’environnement au conseil régional.
« Dans les bureaux, avec les façades en plein soleil, il fait si chaud qu’on ferme les rideaux, branche la climatisation et allume les lumières puisqu’on est dans le noir en plein jour », s’insurge l’énergéticien Jocelyn Meschenmoser qui participa à la réalisation de « L’Îlette du centre », l’une des rares « opérations de défiscalisation citoyennes », selon l’expression de son architecte Michel Reynaud, soit 300 m2 de bureaux et 66 logements qui ont renoué avec la fraîcheur naturelle et le confort de l’architecture créole au cœur de Saint-Pierre.
Pour sortir de cette hérésie de la construction, la Réunion réclame ce que Paris lui a jusqu’ici toujours refusé, à savoir l’autorisation de faire sa propre révolution énergétique – les DOM n’ayant droit à aucune réglementation thermique –, et table sur les deux projets de loi outre-mer et Grenelle de l’environnement.
Marie VERDIER, à La Réunion
November 7th, 2008 — People
I took much pleasure in reading more about Barack OBAMA. It is believe that the formative years of a child mould the adult. Moncef Guitoni, an imminent scholar specialist of Parenthood and emotional intelligence taught me that much can be learned from the early childhood (0-6 years)of a person. I note from the documents available from the net, that Barack went through several break ups: first divorce of his parents, when he was only two years; then the challenge of living in a new environment in Indonesia, break up in culture, language and environment; and later yet another uprooting to continue the schooling in Hawaii, away from her mother in the lap of her grandmother. Does he carry the traumas of these breakdowns or have these dramatic changes honed his ability to sustain external environmental ruptures and overcome them? Does he speak Indonesian or does he understand the language?
Seeing the achievements of the later years, he surely has benefited from the wide variety of different experiences and culture. He has definitely a view of the world more enrich that most Americans possess. He himself wrote: Reflecting later on his formative years in Honolulu, Obama wrote: “The opportunity that Hawaii offered — to experience a variety of cultures in a climate of mutual respect — became an integral part of my world view, and a basis for the values that I hold most dear.”
I always have great respect to persons who have taken the task of putting to ink their life history. He did it. This demonstrates amongst other qualities, the ability to think orderly and in a structure and to write and communicate excellently.
Childhood through high school
Born in 1961. Throughout his early years, Obama was known at home and at school as “Barry.” Obama’s parents met while both were attending the University of Hawaii at Manoa, where his father was enrolled as a foreign student. They separated when he was two years old and later divorced. His father received a Masters degree in Economics from Harvard University, then returned to Kenya, where he became a finance minister before dying in an automobile accident in 1982. His mother married another foreign student, Lolo Soetoro, and the family moved to Soetoro’s home country of Indonesia in 1967. Obama attended local schools in Jakarta, from ages 6 to 10, where classes were taught in the Indonesian language.
Before his time in Indonesia, he first attended St. Francis Assisi Catholic school for almost three years. When his family moved to a new neighbourhood, Menteng, he attended the secular, government-run SDN Menteng 1 school for his fourth year. Obama’s stepfather was “not religious”, and “never went to prayer services except for big communal events”, according to Obama’s sister, Maya Soetoro-Ng. When Obama was in third grade he wrote an essay saying that he wanted to become president. His teacher later told the Chicago Tribune that she was not sure what country he wanted to become president of but that he said that his reason for becoming president was that he wanted to make everybody happy.
Obama returned to Honolulu to live with his maternal grandparents while attending Punahou School, a private college preparatory school, from the fifth grade until his graduation in 1979. Obama’s mother, Ann, died of ovarian cancer and uterine cancer a few months after the publication of his 1995 memoir, Dreams from My Father.
In the memoir, Obama describes his experiences growing up in his mother’s middle class family. His knowledge about his African father, who returned once for a brief visit in 1971, came mainly through family stories and photographs. Of his early childhood, Obama writes: “That my father looked nothing like the people around me — that he was black as pitch, my mother white as milk — barely registered in my mind.” The book describes his struggles as a young adult to reconcile social perceptions of his multiracial heritage. He wrote that he used alcohol, marijuana, and cocaine during his teenage years to “push questions of who I was out of my mind”.[ Obama has said that it was a seriously misguided mistake. At the Saddleback Civil Presidential Forum Barack Obama identified his high-school drug use as his greatest moral failure. Obama has stated he has not used any illegal drugs since he was a teenager.
Some of his fellow students at Punahou School later told the Honolulu Star-Bulletin that Obama was mature for his age as a high school student and that he sometimes attended parties and other events in order to associate with African American college students and military service people.
November 6th, 2008 — Reflexion
The effect of the results of the election of OBAMA on the stock exchange in the US has deceived me. I was expecting a regain in the confidence of the investors and an improvement in the indices. It would appear that this is not the case. Else, the impact of the results of the elections is not great enough to move positively the indices and to cure the situation we are experiencing. Or shall we have a wait longer?
New York Times reported:
Stocks Slump After Election Rally
The post-election bounce never materialized Wednesday.
Investors took profits and dealt with another round of bleak economic news as shares on Wall Street eclipsed their gains from Election Day.
The selling began early after a report showed that the nation’s service sector contracted in October, falling at the fastest pace since records began in 1997 and accelerated in the final minutes.
At the close, the Dow Jones industrial average was down 5 percent, or 486.01 points. The broader Standard & Poor’s 500-stock index declined 5.2 percent.
November 5th, 2008 — People, Reflexion
Kreole as an option to improve the effectiveness of our education system in Mauritius?
Have you read the article of Jimmy Harmon on L’Express of the 4th November. Do you think the proposal is feasible?
Not being an expert in education, I support the idea of using the mother tongue, the easiest communication vehicle to access further learning. The underlying principle would be: to learn from ‘known to unknown’. Indeed, I rather watch and enjoy Louis de Funes or Benny Hill in the original version. True! Reading R. Tagore in Bengali must have an enhanced flavour as much as hearing ‘zistoire ti jean in Creole’. I for one can express my sentiments better and easier in Creole despite the practice and use of English all through his education years.
The political issues and the unspoken battle of ‘protecting one’s turf’ , be it for the teachers and the education establishment who have to adjust their deliverables, be it for the politicians -whose main outcome is more towards gaining mileage to be re-elected-, be it the parents of the various social-strata who fear changes, have to be trashed out.
What is your opinion?
November 4th, 2008 — People
Amazing! Yesterday I received a mail from Jacki Marshall , a sweet lady, who I met 10 years ago on a Nile cruise. I recalled that we had a wonderful cruise in the company of Jacki and her friends. She sent a mass mail to show her support to Barack Obama for today’s poll.
When I inquired that she was doing, she replied that she was involved in micro finance in Kenya. That immediately aroused my curiosity. How could she living in the US, North Carolina, possibly be dealing in micro credit in Kenya? She thus opened a new avenue to me thru H3O. Wow! this is a living example of the Grameen Bank principle you could participate.
How it works:
Lenders choose an individual business, group, or village project in a developing country to support using the h3o web site and paypal. The loan can be as little as $25. Our Micro Finance Institute partners (MFI’s) upload entrepreneur businesses and village projects to our web site that need funding. They are real clients who need help.
Most loans are funded between 6-9 months (agricultural loans 9-12 months).
Throughout the loan period the loan officer sends a short e-mail journal update to the web site every 3-4 months. As the loan gets paid back EACH lender has the choice to take back the funds or “recycle†the money back to another individual, group or village project. Micro credit success repayment rates are high. (e.g. Grameen 95%)
What is different about this philanthropic model is that your original loan money can be continually impacting a working poor family of your choice. For example: A single $100 loan amount can be recycled 10 times in five years, which means 10 families have been lifted out of poverty with a single, initial $100 loan amount.
h3o partners with credible, registered, accountable MFI’s with transparent financial records whose mission is empowerment of the working poor.
Our MFI’s and NGO’s (Non Government Organizations) in developing countries choose which CBO’s (Community Based Organizations) to lend to. The CBO’s are mature women’s groups with strong self governance and a proven track record of debt repayment and have been meeting for a minimum of one year.
Each CBO that has access to h3o funding receives ongoing business and life skills training from our partner MFI in developing countries, to better ensure success and debt repayment.
Our MFI partner distributes and collects the loan and manages, and in some cases manages savings accounts for clients.
h3o loans are given without collateral. They are based on dignity and trust. The CBO group itself acts as guarantors to one another securing loan repayment and future loans. If one defaults, the group is responsible for any defaults. Failure to pay the loan limits any further loans to the individual and the group. This “in house†peer pressure is one of the main reasons micro credit has such a successful loan repayment rate of 95 %.(Grameen Bank) All are stakeholders in each other’s success.
November 3rd, 2008 — Reflexion, Uncategorized
On the 31st October 2008 Berlin Templehof airport has ceased to function as an airport. It touched me to learn about this event. In my university studies, I had started off my end of study dissertation by quoting the event that happened in 1948 in that very airport which has been called the Berlin Airlift.
On 20 June 1948 Soviet authorities, claiming technical difficulties, halted all traffic by land and by water into or out of the western-controlled section of Berlin. The only remaining access routes into the city were three 25-mile-wide air corridors across the Soviet-occupied zone of Germany. Faced with the choice of abandoning the city or attempting to supply its inhabitants with the necessities of life by air, the Western Powers chose the latter course, and for the next eleven months sustained the city’s two-and-a-half million residents in one of the greatest feats in aviation history.
Operation Vittles, as the airlift was unofficially named, began on 26 June when USAF Douglas C-47 “Skytrains” carried 80 tons of food into Tempelhof, far less than the estimated 4,500 tons of food, coal and other essential supplies needed daily to maintain a minimum level of existence. But this force was soon augmented by United States Navy and Royal Air Force cargo aircraft, as well as British European Airways (BEA) and some of Britain‘s fledgling wholly privately owned, independent airlines.[ The latter included the late Sir Freddie Laker‘s Air Charter, Eagle Aviation and Skyways. On 15 October 1948, to promote increased safety and cooperation between the separate US and British airlift efforts, the Allies created a unified command – the Combined Airlift Task Force under Maj. Gen. William H. Tunner, USAF, was established at Tempelhof. To facilitate the command and control, as well as the unloading of aircraft, the USAF 53rd Troop Carrier Squadron was temporarily assigned to Tempelhof.
In addition to the airlift operations, American engineers constructed a new 6,000-ft runway at Tempelhof between July and September 1948 and another between September and October 1948 to accommodate the expanding requirements of the airlift. The last airlift transport touched down at Tempelhof on 30 September 1949.
Historians, who write on the advent of modern Air Cargo, attribute this Berlin Airlift as the start of the industry. Prior to this operation, the hold of aircraft was mainly used commercially to carry postal mail. Aircraft were not conceived to cart goods in such quantity.
As a large part of my life career (25 years) was in the field of Air Cargo, I feel very sensitive and attached to the subject. In Mauritius, I lived and worked through the era of Boeing 707 all cargo aircraft with 30-35 tonnes lift capacity, DC 8 aircraft 41 tonnes lift capacity to Boeing 747 with 110 tonnes lift capacity. Today, all cargo aircraft are no more in operation to Mauritius on a regular basis.
November 2nd, 2008 — Messe, Reflexion
Luke 12, 35-40
You Must Be Ready
35(BJ) “Stay dressed for action[f] and(BK) keep your lamps burning, 36and be like men who are(BL) waiting for their master to come home from the wedding feast, so that they may open the door to him at once when he comes and(BM) knocks. 37(BN) Blessed are those servants[g] whom the master finds(BO) awake when he comes. Truly, I say to you,(BP) he will dress himself for service and have them recline at table, and he will come and serve them. 38If he comes in the second watch, or in the third, and finds them awake, blessed are those servants! 39(BQ) But know this, that if the master of the house had known at what hour(BR) the thief was coming, he[h] would not have left his house to be broken into. 40You also must be(BS) ready, for(BT) the Son of Man is coming at an hour you do not expect.”
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Our Lord asks us to ‘stay dressed and keep our lamps burning’ and be in ‘waiting.
To be in waiting of someone is to happily looking forward to the coming of the person, indeed it is in this very spirit that our Lord expects us to live. Whilst I live in this expectation, I have the awareness of His presence and am in permanent communion and adoration of my Creator. I am thus able to cherish His love. To live for and by Him and in total trust of Him is what is expected from Him. No doubt this way of living requires efforts from my part. It does consume me to keep my lamps burning, on other hand to live off the light of my Lord is so blissful that the effort does not commensurate with the benefits.
Today, the church celebrates the commemoration of the defunct, I feel very much in communion with my parents and those who have loved me and are today, ahead in the kingdom of God. I believe that for the love they shared, thanks to our merciful Lord, they are all dressed up at the table of our Lord in bliss.
O Lord I pray you to give me the gift to be ever mindful of Your presence in me, to make me ever ready for Your coming, to hold me dress up , and to keep burning my lamps in waiting for You.
November 1st, 2008 — La fete de 3, Messe
La Toussaint est une fête chrétienne, dont l’Église catholique a fixé la date au premier novembre en 835. Depuis, chaque année, la Toussaint célèbre Dieu et tous ses saints martyrs. Le choix de la date n’est pas innocent, l’Eglise Catholique encore jeune cherchait ainsi à évincer la fête païenne célébrée ce jour-là . Le premier novembre était en effet l’une des quatre grandes fêtes des nations païennes du nord de l’Europe, la Saint-Sylvestre celtique, le dernier jour de l’année, suivi du jour de l’an : Samhain. Les Irlandais émigrés en masse aux États-Unis lors de la grande famine du milieu du XIXème siècle, ont apporté avec eux leurs légendes, et en Amérique, Samhain est devenu Halloween. Selon les Celtes, cette nuit du premier novembre qui enterrait l’année voyait revenir les esprits et autres fantômes pour hanter les maisons des vivants. Ceux-ci plaçaient une petite lumière à l’abri dans un navet devant leur porte, ainsi que des aliments, pour chasser les revenants. Le navet est devenu citrouille en Amérique du Nord où Halloween est fêté par petits et grands depuis longtemps.
La mode est arrivée en Europe où la Toussaint, devenue Halloween pour les plus jeunes malgré qu’Halloween se déroule en fait la veille, s’écarte de plus en plus de la religion. Désormais, les citrouilles rivalisent chaque année avec les chrysanthèmes dans les grands magasins la dernière semaine d’octobre. Il faut préciser que la Toussaint est une fête catholique, en l’honneur de tous les saints du panthéon catholique, et n’est pas reconnue par l’ensemble du christianisme.
Les protestants ne fêtent pas la Toussaint car ils ne reconnaissent pas l’autorité de la croix, du saint suaire ainsi que la Vierge Marie ou du Saint Père. La Toussaint, célébrée dès les origines de l’Église Catholique, est donc une fête qui rend hommage avant tout à ses martyrs. Cette fête religieuse fut créée au début du VIIème siècle par le pape Boniface IV, qui dédia le Panthéon de Rome à la Vierge Marie et à tous les saints martyrs. Rome était devenue chrétienne et il était temps d’effacer les traces des anciens dieux. Le pape Boniface, quatrième souverain pontife, débarrassa le temple de toutes ses idoles, et, le 3 mai de l’année 605, le consacra à la Vierge Marie et à tous les martyrs, le rebaptisant du nom de Sainte-Marie aux Martyrs. La Toussaint fut alors fixée au 13 mai, jusqu’en 835, date à laquelle le pape Grégoire IV instaura la date du premier novembre pour sa célébration afin d’appliquer la politique ecclésiastique de l’époque. Plus prosaïquement, la date correspondait également à la fin des vendanges et les moissons. Les fidèles, libérés de leurs travaux, pouvaient venir en foule pour célébrer les saints martyrs et trouvaient plus facilement à se nourrir.
Au XIème siècle, on fit suivre la Toussaint du jour des morts, jour de commémoration de tous les fidèles défunts. L’origine de la Toussaint vient également d’un archevêque de Gênes, Jacques de Voragine, à qui l’on doit la « Légende dorée » au XIIIème siècle. L’ouvrage relate la vie des saints illustres avec quantité de miracles et de faits surnaturels dont le Moyen Âge était friand. Il a connu un grand succès car il permettait aux croyants de s’attacher aux saints martyrs fêtés lors de la Toussaint. Notons enfin que la Toussaint en France reste l’une des quatre fêtes chômées depuis le Concordat de 1801.
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Chez nous à Maurice, les chrétiens ont conservé la fête de la Toussaint le 1er novembre et le 2 novembre le jour de la commémoration des morts. Les cimetières seront visités et la mémoire de nos défunts sera rappelée.
October 30th, 2008 — People
What is the common thread between Demi Moore, Madonna and Britney spears?
This was a question asked on Radio Canada TV news yesterday.
My family is of Italian origin (parents are first-generation American). Babies in my family have been wearing a red string on their arm or pinned to their sweater or carrier for as long as I can remember to ward off the evil eye or “Mal Oche.” Is there a connection to Madonna and other celebrities who follow Kabbalah and wear a red string?
For celebrities like Demi Moore, Ashton Kutcher, Lindsay Lohan, Britney Spears, Madonna-and even Madonna’s daughter Lourdes-it has become fashionable to wear a “Kabbalah” bracelet made out of braided red string to protect them from “the unfriendly stare and unkind glances,” as the Kabbalah Centre (where the string sells for $26 a length) puts it. Surprisingly, though, this tradition is not explicitly from Kabbalah. Many Mediterranean cultures wear red to ward off the evil eye. There are biblical traditions associated with a red string as well. Wrapping a red string around the tomb of the matriarch Rachel is supposed to protect women in childbirth. Since Rachel is associated with the Shekhinah (in Kabbalah, the divine presence), there are also some kabbalistic overtones. One nonsupernatural explanation of the string’s power is that it reminds the wearer to bear himself or herself with humility, so as not to attract envy.
This practice is not far with what I knew in Mauritius. I recall in my childhood that some babies wore a red thread too to ward off the bad spirit. Sometimes in the older days a red chilli or a red ribbon was attached to new objects for the same reason.