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August 15th, 2006 — Mauritius, Messe, Reflexion
Pourquoi cette Fête ?
Déjà depuis de siècles L’Eglise a toujours honoré notre Sainte Vierge, Mère de Jésus. Je vous recommande la lecture de la Préface proclamée pour cette fête. Elle est la première bénie de Dieu, car elle a été choisie pour être l’instrument de l’Incarnation de Dieu. En terme contemporain, le mot « Lauréat » me vient à l’esprit. Ne fêtons nous pas toujours nos Lauréats pour être les premiers et surtout pour être des modèles à suivre ?
Saint Jean de Damas (vers 675-749), moine, théologien, docteur de l’Eglise
Homélie 1 sur la Dormition, 11-14 (trad. SC 80, p. 111s)
La Vierge Marie « image de l’Eglise à venir…qui guide et soutient l’espérance de ton peuple » (Préface)
Ô Mère de Dieu, toujours vierge, ton saint départ de ce monde est vraiment un passage, une entrée dans la demeure de Dieu. Sortant de ce monde matériel, tu entres dans « une patrie meilleure » (He 11,16). Le ciel a accueilli avec joie ton âme : « Quelle est celle-là qui monte dans tout son éclat comme l’aurore, belle comme la lune, resplendissante comme le soleil ? » (Ct 8,5;6,10)… « Le roi t’a introduite dans ses appartements » (Ct 1,4) et les anges glorifient celle qui est la mère de leur propre maître, par nature et en vérité selon le plan de Dieu…
Les apôtres ont porté ton corps sans tache, toi l’arche d’alliance véritable, et l’ont déposé à son saint tombeau. Et là , comme par un autre Jourdain, tu es parvenue à la vraie Terre promise, je veux dire à la « Jérusalem d’en haut », mère de tous les croyants (Ga 4,26), dont Dieu est l’architecte et le constructeur. Car ton âme assurément « n’est pas descendue dans le séjour des morts, bien plus ta chair elle-même n’a pas connu la corruption » (Ps 15,10;Ac 2,31). Ton corps très pur, sans souillure, n’a pas été abandonné à la terre, mais tu as été emportée aux demeures du Royaume des Cieux, toi la reine, la souveraine, la dame, la Mère de Dieu, la véritable Theotokos…
Aujourd’hui nous nous approchons de toi, notre reine, Mère de Dieu et Vierge ; nous tournons nos âmes vers l’espérance que tu es pour nous… Nous voulons t’honorer par « des psaumes, des hymnes, des cantiques inspirés » (Ep 5,19). En honorant la servante, nous disons notre attachement à notre propre Maître commun… Jette tes yeux sur nous, ô reine, mère de notre bon Souverain ; guide notre route jusqu’au port sans orages du bon désir de Dieu.
Que veut dire « Assomption » ?
J’ai retrouvé dans l’encyclopédie catholique des pistes de réflexion intéressantes. Ce qui m’interpelle, c’est cette supposition que notre Sainte Vierge Marie, par sa pureté, n’a pas été soumise à la corruption de la chair. Ce qui me donne à penser que notre résurrection se fera corps et âme.
Nous fêtons Quoi aujourd’hui ?
Nous fêtons bien notre lauréate qui entre dans la gloire de Dieu. Les réjouissances seront démunies de sens si nous ne profitons pas de l’occasion pour mieux comprendre l’événement et d’en tirer des leçons. Immaculée Conception est elle possible ? Enfanter tout en étant Vierge est un non sens à la compréhension humaine ! Ce n’est que dans la foi et à travers l’acceptation de la venue de Jésus que je m’explique ses faits.
Merci Marie
A travers de ta fête, tu m’as donné l’occasion de méditer sur ton parcours exemplaire sur terre. Que tu sois mon modèle. Mieux encore, là où tu es, intercèdes pour moi. Mère nourricière de Jésus, vivant en servante que pour Lui, tu as accepté ton rôle avec humilité et détachement dans une espérance sans limite. Sous ton regard bienveillant,j’ai eu l’honneur d’etudier au college St. Mary’s. O Marie prie pour nous.
August 9th, 2006 — Reflexion
La Prévoyance : Apprehension et Anticipation.
J’étais vraiment heureux aujourd’hui. Ce matin, je lisais le blog d’Olivier ou il relatait sa première semaine de travail et il faisait surtout une réflexion sur son appréhension et anticipation du début de sa carrière.
Je me disais voila le Seigneur nous a béni en insufflant a Oliver la prévoyance.
Et moi qui n’ai pas manque de le féliciter et de l’encourager en ajoutant à son blog mes commentaires. L’ apprehension c’est quoi? La reconnaissance d’une peur n’est elle pas l’élément déclencheur d’une action pour agir contre cette même peur ? L’anticipation n’est elle pas la premiere marche vers le chemin de la prevoyance? Mon topo sur le Yin et le Yang suivait. Bref, pour faire ressortir que quoique qu’ il nous arrive, la relecture d’une situation nous arme toujours mieux pour les prochaines étapes de la vie.Savoir toujours tirer les lecons de notre vie: c’est cela l’experience. Bla bla bla…
Et hop! En ouvrant après, ma lecture du jour, je constate qu’il m’est proposé ce matin meme le 9 Aout: la parabole des vierges folles & les vierges prévoyantes qui attendaient l’époux. La leçon sublime de prévoyance que le Seigneur nous donnait ce jour.
Merci O Seigneur! You have made my day!
August 4th, 2006 — Reflexion
I am amazed to read the development of Wiki. The short article of Wikipedia : perspectivesPar Marc Foglia et Chang Wa Huynh aroused my interest to such a wonderful story. I have been an ardent user of wikipedia without really appreciating the fantastic history behind it. Wikipedia today covers more pages than the Britannica. It is free, with a high degree of exactitude and is continously being updated. More over, it is off my laptop, so accessible and practical. I do not consult my old edition of the encyclopedia, I bought years ago.The series of 15 or so heavy books sit lazily and nicely on a bookshelf today.
Last Saturday, a friend came home and she was very keen in wanting to know more of a flower she was offered. Sure enough within a few seconds she had the information she wanted. The world of Magnificat Medinilla opened up to her.
Welcome to the world of Wikipedia.
August 2nd, 2006 — Chinois, Reflexion
Texte retrouvé sur un blog que je vous recommande de visiter, si les chinoiseries, vous en dit des choses.
Moi. Oui, cela m’interesse.
Citation
La forme de l’écriture chinoise (utilisation de dizaines de milliers d’idéogrammes par rapport à un alphabet de 26 lettres) influe beaucoup, me semble t il , sur le rapport qu’un individu entretient vis à vis du savoir.
Pour l’occidental, il y a des clés pour comprendre. Une fois que j’ai saisi les 26 lettres, je peux facilement lire n’importe quel mot ; c’est un univers de possibles qui s’ouvre car je connais l’alphabet, je le maîtrise. C’est ainsi qu’en rassemblant une quarantaine d’érudits, on obtient l’académie Française qui jour le rôle de garant de la langue. Ici, 40 personnes peuvent veiller sur une langue.
Pour un chinois c’est tout autre chose : il a appris 25 caractères par jour, par cÅ“ur, jusqu’à sa classe de terminale, et il continue en tant qu’adulte. Les vieux lettrés (il n’y en a plus beaucoup), qui maitrisaient quelques dizaines de milliers de caractères, continuaient même à des âges de vieillards à en apprendre de nouveaux chaque jour. Il n’y a pas de clés.
On pourrait bien sur objecter en mentionnant les radicaux , qui se combinent pour éclairer quelque peu un caractère ou un mot : cerveau + électrique = ordinateur (Diannao 
). Mais 5000 ans d’histoire se sont chargés de brouiller les pistes, et les clés ou radicaux de caractères ne permettent généralement pas d’accéder facilement à la phonétique du caractère ou à son sens. Donc le chinois ne tient pas la solution qui lui permet de se débrouiller ; il doit continuer à apprendre sans relâche, et évoluer dans un contexte d’incertitude.
Si l’on voulait rassembler une « académie chinoise », il faudrait des centaines d’experts pour prétendre faire tenir une portion significative de la connaissance linguistique dans une salle. Plusieurs empereurs ont essayé (Qin Shi Huangdi est resté célèbre pour cela juste avant la dynastie des Han), mais des chantiers de plusieurs années impliquant des centaines de personnes n’ont pu que produire des jalons dans l’histoire de la langue ; des points isolés de convergence qui prenaient des formes de dictionnaires mais ne duraient qu’un temps.
Revenons à l’attitude du chinois vis à vis de sa langue , et vis à vis du savoir en général : je ne sais pas ; je n’ai pas les clés ; chaque nouveau caractère est une énigme à déchiffrer.
Le problème de cette attitude, d’accord, c’est son caractère laborieux. A l’école c’est du « par cÅ“ur » tous les jours ; moins de dissertations, d’expression individuelle, de créativité. J’ai 25 caractères à recopier et à apprendre. Ce point joue certainement dans la difficulté qu’ont les chinois à appréhender la notion de propriété intellectuelle telle qu’elle est définie en occident ; il n’y a rien de mal à copier puisque je l’ai fait toute ma scolarité ; c’est comme cela que j’ai appris.
Mais l’attitude du chinois face au savoir n’est elle pas d’une modernité frappante dans notre époque d’incertitude, avec un futur indéchiffrable, qui nous demande sans cesse plus de flexibilité et d’ouverture à l’ambigu et au nouveau ?
Je vois autour de moi tellement d’européens qui vivent mal l’incertitude , qui s’accrochent à un savoir (à une clé) jusqu’à en devenir bornés ou coupés de leur environnement. Je vis moi même cela ; souvent en cours de chinois me vient un sentiment de révolte : pourquoi apprendre tout cela ? quand aurais je enfin les clés ? J’ai beau chercher mais je n’aurai jamais les clés. Soit je continue à apprendre, soit j’arrête et j’oublie tout. Par contraste en chine j’étais sans cesse frappé par la flexibilité des personnes dans le travail, et face à des situations mouvantes en général.
Fin de citation
Recherchons un business model qui rallierait l’habitutude millenaire des chinois au droit de propriete « copy right » que prone le monde occidental.
C’est bien en 1886, a la convention de Berne que les grands du monde occidental ont etabli la protection de l’intelligence intellectuelle:le droit d’auteur. En sont ils bernes ce jour avec la Chine?
August 1st, 2006 — Mauritius, Reflexion
ÉCOLE – ENTREPRISE : DEUX MONDES QUI S’IGNORENT
Ecole et l’enseignement d’aujourd’hui préparent ils suffisamment nos jeunes pour leur entrées dans le monde du travail ? Le cursus de notre éducation nationale est il adapté aux besoins des entreprises de Maurice? Parmi nos 15000 étudiants chaque année, qui quittent nos écoles pour retrouver un emploi, combien sont conscients que leur chance d’emplois sera meilleur dans la mesure où ils ont une éducation adaptée et conforme aux besoins des entreprises? D’autre part, que font les entreprises pour avoir les employés prêts à l’oeuvre dans leur emploi ? Est ce que la somme d’argent déployée par l’éducation nationale, sert elle à préparer au mieux nos jeunes pour un emploi?
Semble-t- il notre île Maurice n’est pas seule à vivre ce dilemme ? En effet, j écoutais au mois d avril dernier une émission de radio France Inter qui avait bien travaillé ce dossier : Ecole- Entreprise. Des solutions et pistes de réflexion étaient suggérées. Entre autres un partenariat entre Université de Pontoise et la societe Veolia fut cité.
J’étais heureux de réécouter la semaine dernière France Inter, qui nous proposait une nouvelle diffusion en pod cast. Et voila, hier en grande pompe la MBC nous annonce qu’en grande première, l’Université de Maurice signe un accord de partenariat avec la CMT.L’evenement est repris ce jour sur L’Express.
Bravo à François Woo & Louis LaiFat Fur, décorés bien méritant de notre pays, d’entreprendre cette voie. Un « Win Win Win situation ». Win pour l’entreprise CMT qui s’assure de l’emploi des gens formés à sa demande, Win pour les jeunes qui trouvent des emplois conformes à leur compétence, et enfin, Win pour le pays qui, grâce à l’université, a bien investi dans l’utile sans superflu.
Quid des niveaux d’emplois plus inférieur? Ne sont ils pas bien plus nombreux ceux qui cherchent un emploi à 1a sortie de HSC ou SC ou encore à l’etape plus bas ?…..Une année de préparation et d’ apprentissage à l’emploi en alternance pour les jeunes, conjointement gerée par l’etat et les entreprises serait il possible ?
July 30th, 2006 — Mauritius, Messe, Reflexion
Ce dimanche 30 juillet 2006 l’Eglise nous propose comme lecture de l’évangile le miracle de la multiplication des pains selon St Jean.
Quelle chance j’ai eu ce dimanche d’avoir un célébrant malgache le père Roland. Une voie, quoique de remplacement, elle était nouvelle. Elle m’a demande beaucoup plus d attention d’écoute afin de vaincre le fort accent qui handicapait ma compréhension au départ. Ce que je retiens de son homélie : le miracle, un signe de Jésus, c est toujours pour un départ. Comment un départ ? Oui, Jésus nous demande toujours de partir. Apres chaque miracle, instruit de son enseignement, Jésus nous exhorte de partir pour une action.
Qu’ai-je retenu du récit de la Multiplication des pains, ce dimanche?
Avec la grâce de Dieu, avec 5 pains et 2 poissons il est possible de nourrir une population de 5000 personnes a satiété. Il en restât encore à manger après le repas. Le don de Dieu est abondant et débordant. Avec peu nous sommes appelés à faire beaucoup avec sa grâce.
« Lui-même savait bien ce qu’il allait faire » Quelle démonstration de confiance de soi. Quand nous avons Dieu avec nous et que nous agissons dans son plan tout nous réussit. N’est ce pas le cas de dire « même le ciel agit avec nous » ?
Jésus agit et c’est par son action qu il est reconnu grand prophète. « Action speaks louder than words » Le miracle est exécuté avec simplicité et amour. La foule a été nourrie de pain et obtient de surcroît le don d amour.
Je ne pouvais m’arrêter de penser au Fancy Fair de l’Ecole complémentaire qui se déroulerait juste apres. Avec peu de moyen et avec la grâce de Dieu, beaucoup peut être accompli à l’école complémentaire. Le don d’amour de Dieu est abondant et débordant. Aujourd’ hui c’est par nous que Dieu agit.Prenons a bras le corps notre départ pour l’action. Le miracle sera ainsi renouvelé.
July 9th, 2006 — Mauritius, Reflexion
Quelles interpellations m’ont préoccupé ce dimanche à la messe ?
Dans son homélie, le célébrant en référence à l’évangile parle des difficultés pour les contemporains de Jésus de le connaître.
« D’où cela lui vient-il ? Quelle est cette sagesse qui lui a été donnée, et ces grands miracles qui se réalisent par ses mains ?
N’est-il pas le charpentier, le fils de Marie, et le frère de Jacques, de José, de Jude et de Simon ? Ses soeurs ne sont-elles pas ici chez nous ? » Et ils étaient profondément choqués à cause de lui.
Jésus leur disait : « Un prophète n’est méprisé que dans son pays, sa famille et sa propre maison. »
Marc 6 1-6
Celui que tout le village a toujours connu, serait un grand prophète qui accomplit des miracles! Ce n’est pas compréhensible.
En effet la dualité de Dieu et l’homme, Dieu fait homme, Incarnation reste jusqu’à ce jour difficile à comprendre. Comment le créateur peut être en même temps la créature? Mieux connaître Jésus serait il d’être éclairé sur la complexité de cette dualité ? Le Créateur qui par amour, pour être exemple, se fait humblement homme pour nous ouvrir la voie de la rédemption. IL se présente comme modèle à suivre en frère tout en étant notre Dieu.
La pédagogie de Jésus, poursuit le célébrant, a deux composants : annonce de la bonne nouvelle et accomplissement des signes par des miracles. Par cette pédagogie, Jésus nous invite à une relation intime avec lui. Les contemporains de Jésus sont attirés par les signes mais sont peu sensibles à la bonne nouvelle. Voir l’invisible message du Christ derrière les faits. Jésus nous parle à chaque instant dans nos faits de vie mais nous ne le voyons pas ou nous ne l’entendons pas. Je souhaite que l’exercice de réflexion dominicale que je m’efforce de faire et l’écriture de mes interpellations m’aideront à construire cette relation avec Dieu.
Le cantique chanté à l’offertoire a eu une résonance extraordinaire ce matin. Je l’ai chanté moult fois !
« Tout un chemin pour te chercher, toute ma vie pour te chanter, chaque matin s’émerveiller de se savoir aimer »
Voila, j’ai trouvé le cadeau de ce dimanche. J’étais saisi d’émotion. « se savoir aimer » a pris une dimension si grande à cet instant. Jésus me fait réaliser que Lui et tout mon entourage ne cesse de m’aimer. Est ce que je suis conscient de cet amour gratuit qui me tombe du ciel? Jésus m’aime d un amour inconditionnel et pour l’éternité. Qui m’a donné la vie ? Mes parents diront les hommes mais, sans ce cadeau de l’amour de Dieu, serait il possible ? Qui fait ce que je suis aujourd’hui ? Vivant et plein d énergie, aimant mon prochain, je le suis grâce encore à ce cadeau de l’amour gratuit de LUI.
Je suis créature pour m’abreuver de cet amour gratuit et inconditionnel de LUI et pour être le reflet de ce don d’amour pour les autres. A penser à ce don d’amour, « se savoir aimer » j étais pour un bref instant comblé et au paradis.
Bon Dimanche a Tous
July 4th, 2006 — Mauritius, Reflexion
A fortnight ago, at a charity lunch at Ebene Hotel School, I had the very great pleasure to meet in the assembly Sylviane. I must admit that I do not really know her well but was a friend of her husband in the glorious days when I was energetic enough to play badminton. This meeting brought back the memory of her works and drove me to go back to her website.
A few years ago, through a friend I was introduced to the works of Philippe Lim, a keen photographer I knew in my teens, today a professor of photographic art in Montréal. Philippe encourages talents by publishing the works of passionate photographers on the web. He makes it possible for us to attend a permanent art exhibition on the web. http://www.imageriecreative.ca/ This is really a great gift of technology and of Philippe.
There and then I discovered the works of Sylviane. She proudly shares with the world her passion for travel and photos. I invite you to visit her site: http://www.rochecouste.net/
From what I conclude, like Sylviane,” Passion drives interest in living”. Nurturing a passion, a keen interest, a goal to attain, give one a reason to live and to live happily.
May I wish you dear reader, a Passion and Passion to live happily?
July 2nd, 2006 — Messe, Reflexion
La lecture de l’Evangile nous nourrie de la parole de Dieu. Encore ce dimanche quel est le message que j ai recu?
” Dieu n’a pas fait la mort, il ne se réjouit pas de voir mourir les êtres vivants.” Sg 1,13-15
” Mais Jésus reprit : « Ma fille, ta foi t’a sauvée. Va en paix et sois guérie de ton mal. » “Mc 5,21-43
“Il saisit la main de l’enfant, et lui dit : « Talitha koum », ce qui signifie : « Jeune fille, je te le dis, lève-toi ! » ”
Certes, la mort est la forme fondamentale du monde tel qu’il est actuellement. Mais la victoire sur la mort, sa suppression réelle et pas seulement en pensée, est une aspiration et une recherche de l’homme, aujourd’hui comme depuis toujours. La résurrection de Jésus nous dit que cette victoire est effectivement possible, que la mort ne faisait pas partie de la structure du créé, de la matière, en son principe et d’une manière irréversible… Elle nous dit de plus que la victoire sur les frontières de la mort est impossible à atteindre par des méthodes cliniques perfectionnées. Elle n’existe que par la puissance créatrice de la Parole de Dieu, et de l’Amour. Seules ces puissances sont assez fortes pour changer la structure de la matière de manière si radicale que les barrières de la mort deviennent surmontables…
La foi en la résurrection est une profession de foi en l’existence réelle de Dieu et une profession de foi en sa création, au « oui » inconditionnel qui caractérise la relation de Dieu à la création et à la matière… C’est ce qui nous autorise à chanter l’alléluia pascal au milieu d’un monde sur lequel plane l’ombre menaçante de la mort.
” Mais Jésus leur recommanda avec insistance que personne ne le sache ; puis il leur dit de la faire manger.”
Merci Seigneur dans le dialogue personnel Tu me nourri . Tu as institue le sacrement de l’Eucharistie pour nous faire manger .
Site a visiter http://levangileauquotidien.org
July 2nd, 2006 — Mauritius, Reflexion
[audio:jmPriere7.mp3]
What does one do when one retires and continue to stay young?
I came across a wonderful piece of advice written by General Mc Arthur over some sixty years ago. The General’s quote is said by somebody who I respect and admire. At age Ninety, in spite of his recent illness, this person, young in mind, is busily everyday working on his PC browsing the intnet and getting his thoughts published.
Robert Bathfield who I met recently, told me that the 90 years old senior, though broken by age and illness would regain vitality immediately once you talk of his web site and the internet.
I guess you would be able to recognise his voice.
Dear friends, Blogging gives me vitality also because each blog written is the result of yet another project.
The web site to visit: Here