Do you know Etienne Chome?

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Do you know Etienne Chomé?

Shortly before he left Mauritius in 2005 Etienne who has spent a number of years in Mauritius left a legacy. His 5 year’s stay in our island culminated in the publishing of his book “Apprendre a mieux gerer nos conflits” and the training of a team of volunteers to carry on his very laudable mission: teaching How to improve communications and conflict resolution skills.

Throughout his sojourn with us, Etienne conducted a large number of seminars and conferences on Conflict resolutions and communication skills. He had time to put to test his knowledge of the subject and perfected the delivery of the material to suit the local public. I attended some years ago, the lectures he gave and experienced his effective & artful skills in presenting, teaching and delivering complex intellectual materials simply. He was a knowledgeable, intelligent, generous and humble person. He could after the first session remember by first name each one of the 80 participants from memory.

Etienne’s works is largely inspired from world renown authors namely: Marshal ROSENBERG, Jacques SALOME, Thomas GORDON, Roger FISHER & William URY.

Etienne will be back in Mauritius for a short visit next week and will be taking stock of the impact of his deeds.

I would recommend that you enroll to one of the lectures given by Etienne’s team or purchase a copy of his book which has been printed & published in Mauritius.

He has very recently started a new website: www.commincaactions.org

5 comments ↓

#1 Keshni on 02.06.09 at 7:58 pm

Bonjour.Si vous aviez bien reçu ce mail, veuillez répondre à ce mail.C’est pour m’assurer que vous êtres bien Etienne Chômé

#2 joseph on 02.07.09 at 5:40 pm

une reponse sera donnE directement.

#3 C'est Moi on 02.08.09 at 4:51 am

Do you remember the Stardusters?

Christian Lebon. Il chante Sinatra en Australie
Pierre Benoît
02/05/09 | Commentaires [1]
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Ancien bassiste d’un groupe local, Christian Lebon était récemment venu se retremper dans l’ambiance mauricienne et retrouver quelques amis.

Cet ancien musicien du groupe Stardusters, nommé d’après le célèbre morceau de jazz pop: Stardust qui donna à la pop music locale ses notes de noblesse, est demeuré un amoureux de son île natale. Lors de son dernier séjour à Maurice, il nous a raconté les premiers pas de Stardusters.

Beaucoup de Mauriciens ne l’auront pas oublié ainsi que les autres membres du groupe: Gérard Bergicourt, batteur et chanteur, Alfred Stanislas aujourd’hui en Australie également, Pierrot Clair, batteur et chanteur et Clarel Malherbes, chanteur. Ce dernier est toujours à Maurice.

Dans les années 60-70, leur groupe devint si populaire qu’il devait, la plupart du temps, jouer à guichets fermés. Ses concerts ressemblaient à ceux des Beatles avec des jeunes devenant complètement hystériques. Les jeunes musiciens recevaient des dizaines de lettres de leurs fans, disséminés à travers l’île. Il faut dire que c’était l’époque où la musique populaire appelée, la pop music, avait atteint son apogée aussi bien en termes de qualité qu’en quantité.

Elvis Presley, dit le King, et Cliff Richard charmaient encore les jeunes et les moins jeunes et faisaient parallèlement une carrière au cinéma mais de nombreux groupes, anglais surtout, arrivaient avec de nouveaux sons et les tubes foisonnaient sur les charts: les Beatles caracolaient en tête avec She loves you ou Help alors que leurs rivaux, les Rolling Stones, lançaient la bombe musicale qui allait devenir un classique, «I can’t get no satisfaction».

Les Stardusters étaient eux sur la même longueur d’onde que les fameux Shadows dont ils interprétaient les morceaux instrumentaux avec maestria. Ce qui, de prime abord, laissait les gens sceptiques, ne voulant pas croire que des Mauriciens pouvaient jouer aussi bien. Pourtant il fallut bien se rendre à l’évidence: ils étaient parfaits, de vrais professionnels qui créaient l’événement et apportaient la preuve que les musiciens mauriciens pouvaient rivaliser avec ceux de l’étranger.

Une réflexion entendue par un des musiciens alors qu’ils se produisaient un soir au Plaza en dit long sur l’effet qu’ils firent sur les foules à l’époque et où se mêlaient aussi bien l’incrédulité que l’admiration «Mauriciens ki capav joué koum sa»?» Eh oui, ils étaient bien Mauriciens!

Le groupe se désintégra plus tard, quand les frères Lebon émigrèrent en France où ils continuèrent à jouer en cabaret. Cyril Lebon poursuivant ensuite une carrière internationale sous le nom de Phil Wayne.

Gérard Bergicourt s’était établi en Côte d’Ivoire où il possédait un restaurant. La guerre civile dans ce pays l’a contraint à revenir à Maurice où il anime maintenant les soirées du Domaine du Chasseur, dans le sud-est de l’île.

Quant à Christian Lebon, qui était à Maurice officier des Douanes, il poursuit maintenant une carrière de crooner en Australie où il s’est fixé depuis peu après avoir animé les nuits de la Canebière, sur la Côte d’Azur pendant quelques mois au sein d’un petit groupe de musiciens.

«Nous jouions un soir sur un yacht et nous ne nous sommes pas rendus compte qu’une petite foule s’était massée sur le quai pour nous écouter. Quand nous sommes sortis, nous avons été chaudement applaudis par tous ceux qui étaient sur leurs yachts. Sur l’un deux, se tenait le fameux joueur de tennis, Andrée Agassi. Il avait bien aimé notre prestation et était resté sur le pont avec ses amis pendant tout le temps que nous jouions». ( Accroche)

L’ancien bassiste des Stardusters qui, avec son frère Cyril, interprétait à la perfection les airs qui ont rendu célèbres les Shadows et les Beatles, a changé complètement de registre musical. Il reprend maintenant des morceaux de Nat King Cole, de Cole Porter, de Frank Sinatra entre autres. Il se produit désormais en cabaret et obtient un joli succès en Australie où il vit maintenant avec sa compagne, Carol.

Après avoir sillonné l’île en voiture et rencontré ses anciens collègues des Stardusters, Christian a regagné Queensland, dans le nord australien qui, avec ses champs de cannes et ses filaos, rappelle beaucoup Maurice. C’est ce qui explique, sans doute que de plus en plus de Mauriciens quittent Melbourne, Perth et Sydney pour aller s’y établir, dit Christian Lebon qui n’a pas exclu de venir donner quelques représentations ici avec son nouveau groupe. Avis aux promoteurs de tournées…

#4 Theodora Stamova on 02.09.09 at 12:30 am

Dear Joseph,

you should give a copy of the book of Etienne Chome to Dick Ng Sui Wa. He seems to really need it!
There is a lot he can learn from it. Hopefully he can then finally face what he is and stop blaming everybody else for his recurring problems with others.

#5 joseph on 03.27.09 at 8:35 pm

Better still, will have to get him in a seminar training with Etienne who will be visiting Mauritius soon.
see http://www.communicactions.org/

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