Expertise Mauricienne

Je suis heureux de lire que l’expertise mauricienne en matière de taille de diamant trouve place au soleil au Canada. Cette expertise trouve sa genèse dans la création de la première entreprise LSP (Lagesse Sussens Poncini) implantée à Floréal dans les années 70. La taille de diamants est ensuite reprise par Monsieur Denton avec MauriDen qui nous arrivait de l’Afrique du sud. Par aillieurs, le fils Sebatien Denton est un nomine pour l’entrepreneur de l’annee 2007. Je suis heureux d’avoir été un observateur curieux dès le départ de cette industrie à Maurice. En effet, par intérêt, et par ma fonction dans le domaine du transport aérien, je pensais à l’époque que la taille des diamants, et la fabrication des objets de valeur, convenait à l’île Maurice, où le bas coût de main-d’œuvre, couplé avec l’impact du coût de transport minimisé par le volume restreint transporté était idéale. L’occasion me fut presentée à cette époque d’évoquer avec les experts d’Air France Cargo sur le sujet pour ma thèse de fin d’étude à l’université et j’ai eu le plaisir de me rendre compte de la portée d’une telle activité en Israël. Plus tard, avec l’oncle Charlie, j’ai également suivi avec grand intérêt une aventure similaire dans la taille des pierres précieuses, importées de Tanzanie. MauriGem n’a pas malheureusement pas fait long feu pour manque d’approvisionnement régulier.
Comme les nombreux fils ou filles du sol qui pendant des années ont aidé à l’industrie sucrière en Afrique, aujourd’hui nos compatriotes aident à la transformation des pierres brutes en produits finis à l’étranger. Au Botswana, en Australie, au Congo et autres pays miniers, on pourrait bien trouver des débouchés pour nos artisans. Les pays producteurs voulant garder le plus- value dans le pays d’origine. Nos artisans d’une source d’apprentissage de Floréal se trouvent ainsi disséminer dans le monde : Inde, Thaïlande, Canada, Australie et Brésil.
Non, ce n’est pas une perte pour notre mère patrie Ile Maurice. J’ai vu et revu de nombreux mauriciens aidant financerement la partie de la famille restée au pays, et plus tard, au crépuscule de leur vie rentrent au bercail pour un climat plus clément et une retraite bien méritée.

C’est le cas de nos ‘infirmiers’ en Angleterre des années 60-70, nos artisans sucriers depuis plus de six décennies. Pourquoi pas nos immigrants de maintenant ?

Ci’Num 2007 Scenario annee 2030

Dans l’étude de prospective Ci’Num 2007 des experts des grandes sociétés, J’ai noté au scénario 2, Toronto est mentionné parmi les premières villes
« 100% durables ». Je suis heureux que mon fils, ait choisi d’élire domicile à Toronto. Je sais fort bien que les scénarios ne se déroulent dans le futur, que très rarement comme prévu, cependant le jeux des scénarios permet d’anticiper le futur et de s’y préparer. Des tous les différents scénarios Je préfère le scénario 2 parce qu’il couvre les éléments de l’écologie mondiale et les percées technologiques de la science. Le scénario est également optimisme. Les autres scenarios méritent également d’être lus et étudies pour une meilleure perspective.J’en recommande a tous surtout les entrepreneurs.

Mes notes extraites du Ci’Num 2007Scenario 2 qui est titré, l’Imperalisme.

Les Jeux Olympiques de Beijing ont envoyé une véritable une onde de choc à travers le monde. Les visiteurs et les téléspectateurs, qui s’attendaient à rencontrer

un pays post-communiste en voie de développement, découvrirent des villes gigantesques, propres, modernes et sûres, des installations de pointe, une organisation parfaite, des produits des grandes marques internationales vendus dans d’immenses centres commerciaux, des marques chinoises proposant des produits de haute technologie et des athlètes (peut-être dopés, mais impossible de le prouver) capables de gagner des médailles dans presque toutes les disciplines…

Le nouveau superpouvoir affirmait fièrement sa puissance. Il profita même de la dynamique de l’événement pour annoncer l’abandon de sa «politique

de l’enfant unique», afin de stimuler sa croissance à long terme et d’éviter un vieillissement trop rapide de sa population.Ce succès a suscité plus de crainte que d’amour vis-à-vis de la Chine. Les gens se montraient certes impressionnés, mais aussi frappés de voir qu’il ne restait à peu près rien de l’ancien Beijing. La mort de deux marathoniens fut attribuée à l’air vicié de la capitale, et les touristes et les journalistes qui avaient profité du voyage pour visiter l’intérieur du pays rapportèrent des cas de pollution encore plus graves. L’étouffement des contestations sociales avant et durant les Jeux, qui put être dévoilé malgré tous les efforts de la police pour censurer l’internet, a révolté l’opinion publique mondiale.

  • Reveil

Les négociations de Kyoto II échouent en dépit des efforts américains.

  • Tensions

Le baril de pétrole atteint 200$, mais les pays post-industriels en souffrent moins que les autres.Au contraire, ils en profitent pour investir dans les énergies nouvelles, tout en faisant pression sur les autres économies…

Les grandes métropoles modernes prospèrent et innovent. Les transports intelligents et de nouvelles formes de relations réelles/virtuelles voient le jour.

Le coût de l’énergie, les problèmes climatiques pèsent de plus en plus sur les économies émergentes. La tension monte dans le monde.

  • Les grandes métropoles modernes prospèrent et innovent. Les transports intelligents et de nouvelles formes de relations réelles/virtuelles voient le jour.Le coût de l’énergie, les problèmes climatiques pèsent de plus en plus sur les économies émergentes. La tension monte dans le monde.

Toronto et Stuttgart sont les premières villes « 100% durables.

  • Epreuve de force

L’accord «Kyoto IIB» impose aux pays en développement un échange : l’accès aux dernières technologies environnementales contre une croissance plus lente, l’ouverture des marchés, la dérégulation, la coopération policière et le contrôle de l’émigration.

  • Réorganisation

La science et la technologie réalisent d’importants progrès, sous le contrôle étroit de la Défense et des multinationales des pays riches. Ces derniers recréent de larges sphères d’influence, sources de matières premières et de produits manufacturés.

  • Brèches

Des réseaux de dissidence intellectuelle se mettent en réseau pour faciliter la circulation des connaissances…

Face à des ensembles économiques ou des grandes entreprises, devenus des pouvoirs presque autonomes, les Etats pèsent de moins en moins lourd.

Conclusion du Scenario 2

En 2030, l’économie mondiale était plus proche de l’équilibre écologique qu’elle ne l’avait jamais été durant un siècle. La planète s’éloignait également,
petit à petit, d’une zone de conflits permanents, voire de risques existentiels. Mais la situation restait dangereuse. L’équilibre écologique avait principalement été atteint en maintenant des milliards de personnes dans la pauvreté, et seulement de manière secondaire grâce au progrès technologique et organisationnel. Des ensembles économiques et politiques plus puissants que jamais se disputaient le pouvoir, et disposaient de moyens économiques et militaires plus importants que ceux de n’importe quel Etat, sauf bien sûr les Etats-Unis. Les grandes entreprises étaient devenues des pouvoirs presque autonomes, capables si nécessaire de mobiliser des moyens militaires. Les biotechnologies fournissaient les moyens de produire des armes mortelles à bas prix. Les jeunes générations du nord et (encore plus) du Sud rongeaient leur frein dans un monde dirigé par une caste de personnes de plus en plus âgées.Le monde était parvenu à éviter une crise environnementale globale. Il lui restait maintenant à devenir un lieu où il fasse bon vivre.

Desir et Plaisir

La semaine dernière j’ai passé du bon temps à écouter et à assister à des conférences et causeries sur la prospective et l’évolution de la societe. Alain Comte Sponville entre autres renforce mes convictions à l’effet que nous avançons à fond la caisse vers cette societe du désir et plaisir. Maurice Lévy, sommité du monde de publicité en France, patron du Groupe Publicis parle de plaisir en tout et avant tout en toute chose. La publicité s’attelle de captiver le public qu’en proposant le plaisir pour créer le désir. Prend on plaisir a savourer la pub ? Le génie serait il donc d’acheter tel papier « Q » plus pour le plaisir que pour son utilité ? Est-ce que nous perdons vue de l’essentiel, l’utilité de notre achat ? La réponse est non. Un ajustement de pensée semble être nécessaire. Ce n’est pas que le plaisir sans l’essentiel, ils ne sont pas en opposition. Tout au contraire il faut trouver l’essentiel et le plaisir conjugués au pluriel. Le progrès et le génie du futur c’est justement semble t il de réconcilier les impossibilités de jadis. L’absurde serait il de réconcilier le masculin au féminin ? Le sel sans sel ! La viande végétale ! Le sucre sans sucre ! Les calories amaigrissant !Gin sans alcool!Paie sans travail!

En effet, réconcilier l’utile, l’essentiel à l’agréable est envisageable. Mais ce culte d’une quête permanente du plaisir me trouble. Déjà que nous savons que par définition l’homme est avant tout un paresseux. La dernière en date pour moi : La Cité des sciences a inauguré mardi 16 «Zizi sexuel l’expo», parcours didactique et ludique consacré à la sexualité et destiné aux 9-14 ans. Avec Titeuf pour guide.

 

Universite Populaire de Maurice

L’UNIVERSITÉ POPULAIRE c’est :

  • Des cours gratuits
  • Ouverts à tous
  • Sans condition d’âge ni de diplôme
  • Des professeurs bénévoles
  • Pas d’examen à passer
  • Juste pour le plaisir d’apprendre et de réfléchir

L’UNIVERSITÉ POPULAIRE DONNE SES COURS
À LA SALLE DU CONSEIL DE LA MAIRIE DE PORT-LOUIS


« Ouvrir la connaissance à tout le monde, démocratiser la culture et développer l’esprit critique. »

Pourquoi pas ? Je suis émerveillé de cette initiative de créer un lieu ou la connaissance s’adresse a tous, sans condition d’age, ni de diplôme et ce gratuitement. Saurions nous d’entrevoir le paradis sur terre à travers une fissure de bonne volonté et de générosité ? Est ce une coïncidence que le sponsor du projet soit le groupe CIEL ? Enfin une bonne nouvelle et de quoi s’en réjouir. Je remercie le ciel.

Ainsi donc à partir de ce mois d’octobre, le plaisir d’apprendre et de réfléchir est à la portee de tous. Bravo pour l’idée et surtout bravo pour la mise en place. Mes plus vives félicitations a l’initiateur du projet Joseph Cardella.

«La réflexion et l’esprit critique sont donc essentiels, car ils (me) permettent d’envisager les problèmes sous différents angles, angles qui sont constitutifs de la réalité. Il n’y a pas une réalité. Mais la réalité est ce qui est perçu sous un angle particulier. C’est donc l’angle de vision qui fait la réalité, et il est donc important de savoir qu’il existe différents angles de vision, ce qui permet de ne pas s’enfermer. »

La réussite du projet ne pourra se mesurer d’abord par l’affluence au cours. Ce n’est que par la communication que nous attirerons les gens. Ainsi je me fais un devoir d’en parler sur mon blog et à toutes les personnes que ce rencontre. Cher lecteur, veuillez donc parler autour de vous.

Basked in Bliss

Some of you may be wondering what has happened to me and my blog. Silence Radio! Turned sour since the last blog? True! I have been silent since the 22nd September. I even got a call from Nazlee a regular reader of my blog, who inquired about my absence on the web and my blog. As a matter of fact, the sourness mellowed as prior to my departure I had an apology from the person mentioned in my last posting. Great it was a good omen for my holiday.

I have been on holiday, may be. I have been through a period of‘re-creation’ as we use to call similar break period during my primary school days. “Recreation” is a lovely word. Indeed all the homosapiens of this world need breaks to recreate themselves. We do indeed recreate ourselves each time we go back to sleep, our nightly break. Our medical FRCP doctor could explain to us: ‘How much our body needs to repair itself during our daily sleep of some 6-8 hours of apparently inactive period.’ Our brain specialist would tell you how important this apparent inactive period of our body is active to our brain and allows us, so to say in computer language, to reset the programmes and sort out the memory files to get ourselves ready for the next reboot.

Viva my recreation period! I had a span of physical regeneration with sessions of laser poncture @ La Chapelle Montlinard. For a week we were in a French gite in company of my wife, daughter Stephane and grandson Jake who both flew from Montreal for our family reunion holiday and my wife’s brother, Clement and his son Nicolas. With the gathering it was Fiesta.We had excellent weather, Indian summer, every meal mouth watering french food, and tasty French wine of the region, Pouilly Fume. I gave a break to my usual fat controlled diet, Ahoy charcuterie! Ahoy fromage de chevre!Oh la la Crotin de Chavinol from the region of Cher! We collected fresh walnuts and enjoyed their freshness. I basked in bliss.

The second week was an intellectual regeneration week. First I met with one of the official of ‘La Caisse des depots et des consignations’ who was involved with studies of “La Prospective des entreprises”. We spent time discussing about the future of entreprises and the world. Pure joy! One of my favorite topics! He gave me his working document. I was again basking in bliss. The week carried on with a conference with Alain Comte Sponville: “Le Sens du Travail” with my friends from APM Reunion and Mauritius. The crowning of the week was the 20th celebration of APM at a cocktail to meet all the friends of APM and a convention of the clubs of APM with an attendance of 2200 entrepreneurs magnificently organised at Le Palais des Congres. The speeches and forums were music to my ears. I basked in bliss.

Sour Regency AGM

I took a lesson last night at the Annual General Meeting (AGM) of Regency Square Syndic meeting. Perhaps, it was a well learned lesson in humility and a trim to my overlarge ego. It took me some time to get to sleep after I climbed on my bed, my mind kept running like an engine. I could not stop myself from reflecting on the 3hours and a half session with my fellow co- owners. I was drained and felt non resourceful after attending to two of the co-owners. I really had to make a very special effort to contain myself from busting my temper. I applied my turbo brakes. My self- esteem dropped. My feelings were hurt. I sensed the reptilian portion of my brain flashing lights to start off. How is it possible that I have landed so low? I had two cases to deal with.

CASE 1

To be accused of incompetence, I readily accept, as nobody is perfect. But to accuse the Conseil Syndical under my chairmanship of cooking the books with the Syndic in public, ( which of course is false and unfounded)and taking us to task on a transparency issue, just because he was refused the right to take a copy of the accounts was really too much. Especially after the steps taken last year to change the bye- laws to give the Conseil Syndical additional powers to control closely the Syndic, we felt that our good faith was targeted. This was beyond my understanding! I could not read the motivation that drove such actions, in spite of all the supposedly knowledge & competencies (NLP) I have acquired in human behavior. The night through, in my mind, I scanned back to the past scene many times to identify signs and markers that I could possibly attribute to this unexplained behavior. I could not find a sensible answer. What has made this grieved soul so sour to accuse us? Is it possible that we inadvertedly caused him some pain? What has triggered such a foray to my integrity as well as that of the Conseil members? From my previous dealings with this fellow owner, I could only term him as eccentric and full of ego. I had the intuition that the AGM would be a tough one. (Refer to my previous blog on co-propriete).Luckily, I took the precaution not to chair the AGM and to avail of the possibility of nominating a meeting chairman. In the end, the incomprehensive behavior got the other owners to rally against him to bully him: I felt sorry for him.Why would somebody otherwise so intelligent get himself in such a predicament?

CASE 2

The second ache was caused by another co-owner who, according to me, was easy to deal with. From my past interactions with him, I had read his recurrent motives and have remedies for his unwanted behaviors. He only needs to be in the limelight and for this; he would take the floor on any subjects. Any experienced chairperson knows how to deal with over bloated characters with a voracious need for recognition and how to give them a rope to hang themselves. In addition,my impatience grew to break point level last night because the appointed chairman did not act fast enough to contain him.He souped up the precious time of all and got every body bored with his trivia. In hindsight, I have to admit that I should have briefed the acting chairperson beforehand.

Writing this blog now and sharing my heart, I feel, is my therapy for soothing the sour taste of last night.

Daniel Ratard

La semaine dernière, j’ai eu le grand plaisir d’assister à un séminaire sur l’évolution du contexte énergétique mondial par le conférencier Daniel  Ratard.

Qui est le professeur  Daniel Ratard et quel est son parcours ?

Docteur en Sciences (Chimie) – Université de Paris VI
Ph.D (Houston -Texas)
Expériences en entreprise : 30 ans d’expérience dans le secteur de l’énergie
Directeur de Gaz de France (infrastructures de transport Région Est)
Vice Président d’une société américaine (PeTech.)
Expériences en situation de formateur ou conférencier :
Chargé de cours – Faculté des Sciences de Tours.

 

Il débuta une séance passionnante avec un premier postulat :

L’époque d’une énergie abondante, bon marché et n’intégrant pas les coûts externes est vraisemblablement terminée.

En bref, qu’avais je retenu des 7 heures d’écoute du brillant et savant conférencier ?

Après un exposé de divers quartiers, entre autres les organismes internationaux d’études  sur les réserves mondiales du Pétrole et les énergies fossiles, il conclut que pour les prochaines décennies:

PETROLE: Incontournable,  GAZ NATUREL: Fort accroissement,  CHARBON: Reste une composante importante de l’offre, NUCLEAIRE: Futur déterminé par les coûts et l’acceptabilité sociale, ENR: Développement subordonné à l’intervention des Pouvoirs Publics. La maîtrise de la demande d’énergie devient primordiale.

 Que devons nous faire ?

Nous devrons oeuvrer pour mettre en place une transition énergétique. Il n’y a pas de solution « miracle »: Le mix  énergétique devra regrouper un ensemble de solutions mais les technologies de substitution (non émissives en carbone), ainsi que le nucléaire, sont loin de pouvoir répondre à temps au défi climatique, La contribution des énergies renouvelables restera marginale.

Il conclut avec les mots suivants: Cette transition s’imposera et sera d’autant plus difficile que nous aurons tardé à l’anticiper. C’est maintenant progressivement ou plus tard très brutalement, mais il est illusoire de croire que nos choix futurs ne seront pas «inconfortables »

Ma conclusion : L’énergie coûtera de plus en plus cher. Economiser à tout prix !

More Faster Now culture

All through my work career, I had always used the basic microeconomic conception of the balance of the three elements: Time, Quality and Cost which I believed was unalterable. Time and time again, I used the argument that one can have only 2 elements of the trio but never the 3 elements at their peak concurrently. You cannot get a top quality product at rock bottom price immediately. Should you want the product now, you will have to trade off the quality or pay a higher price. Should opt for quality and advantageous price you might have to wait. It was one of my favorite sales argument for selling premium products and services.

I was stunned today to learn that this concept has now evolved and can be altered. Vince Poscente in his recent book, ‘The Age of speed’ postulates that because of technology we are able to save money and time whilst producing better quality. Surely to stop myself from being a ‘has been’, I admit that in the reality of today and the speed that we are now experiencing the once immutable concept got transformed. Now I shall be able to demand superior quality product at cheap prices to be delivered now. This very much in step with the time now: lucky us who live today!

Vince Poscente in his book has helped me to put in new perspectives to some of the ingrained concepts that I have carried from my past. I recommend you to avail of his writings which I am enjoying this week.

Here is an extract on the topic I just mentioned:

A Love Triangle: Time, Quality and Cost

Ingrained in our perception of products, services and

activities is a very basic microeconomic concept: There

is a balance that must be maintained between time,

quality and cost; if you want more of one, you have to

sacrifice another. It’s a time-tested formula and the

foundation of many decisions we make in our personal

and business lives.

But in the Age of Speed, the rules have changed.

Though it is unlikely that trade-offs among time, quality

and cost will ever cease to exist, the old model is no

longer a given. Because of technology, we have more

shortcuts available than ever before, and these shortcuts

not only save us time but often also save us money and

produce equal or better quality.

If we can accept the positive potential that speed

offers, we can do more, be more, live more. We don’t

have to assume that if we embrace speed, our lives will

just get busier and busier. We need to adapt, evolve and

shed our outdated or misguided perceptions of speed.

We need to reshape the way we define, manage and categorize

our time.

Reflexion Dominicale

Lc 15,1-32.
Les publicains et les pécheurs venaient tous à Jésus pour l’écouter.
Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui : « Cet homme fait bon accueil aux pécheurs, et il mange avec eux ! »
Alors Jésus leur dit cette parabole :
« Si l’un de vous a cent brebis et en perd une, ne laisse-t-il pas les
quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller chercher celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il la retrouve ?
Quand il l’a retrouvée, tout joyeux, il la prend sur ses épaules,
et, de retour chez lui, il réunit ses amis et ses voisins ; il leur dit :
‘Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé ma brebis, celle qui était
perdue !’ Je vous le dis : C’est ainsi qu’il y aura de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit, plus que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de conversion.
Ou encore, si une femme a dix pièces d’argent et en perd une, ne va-t-elle pas allumer une lampe, balayer la maison, et chercher avec soin jusqu’à ce qu’elle la retrouve ?
Quand elle l’a retrouvée, elle réunit ses amies et ses voisines et leur dit : ‘Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé la pièce d’argent que
j’avais perdue !’ De même, je vous le dis : Il y a de la joie chez les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se convertit. »
Jésus dit encore : « Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son père : ‘Père, donne-moi la part d’héritage qui me revient.’ Et le père fit le partage de ses biens. Peu de jours après, le plus jeune rassembla tout ce qu’il avait, et partit pour un pays lointain où il gaspilla sa fortune en menant une vie de désordre. Quand il eut tout dépensé, une grande famine survint dans cette région, et il commença à se trouver dans la misère. Il alla s’embaucher chez un homme du pays qui l’envoya dans ses champs garder les porcs.
Il aurait bien voulu se remplir le ventre avec les gousses que mangeaient les porcs, mais personne ne lui donnait rien.
Alors il réfléchit : ‘Tant d’ouvriers chez mon père ont du pain en
abondance, et moi, ici, je meurs de faim ! Je vais retourner chez mon père, et je lui dirai : Père, j’ai péché contre le ciel et contre toi.
Je ne mérite plus d’être appelé ton fils. Prends-moi comme l’un de tes
ouvriers.’ Il partit donc pour aller chez son père. Comme il était encore loin, son père l’aperçut et fut saisi de pitié ; il courut se jeter à son cou et le couvrit de baisers. Le fils lui dit : ‘Père, j’ai péché contre le ciel et contre toi. Je ne mérite plus d’être appelé ton fils…’
Mais le père dit à ses domestiques : ‘Vite, apportez le plus beau vêtement pour l’habiller. Mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds. Allez chercher le veau gras, tuez-le ; mangeons et festoyons. Car mon fils que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé.’ Et ils commencèrent la fête. Le fils aîné était aux champs. A son retour, quand il fut près de la maison, il entendit la musique et les danses. Appelant un des domestiques, il demanda ce qui se passait. Celui-ci répondit : ‘C’est ton frère qui est de retour. Et ton père a tué le veau gras, parce qu’il a vu revenir son fils en bonne santé.’ Alors le fils aîné se mit en colère, et il refusait d’entrer. Son père, qui était sorti, le suppliait. Mais il répliqua : ‘Il y a tant d’années que je suis à ton service sans avoir jamais désobéi à tes ordres, et jamais tu ne m’as donné un chevreau pour festoyer avec mes amis. Mais, quand ton fils que voilà est arrivé après avoir dépensé ton bien avec des filles, tu as fait tuer pour lui le veau gras !’
Le père répondit : ‘Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi, et tout ce
qui est à moi est à toi. Il fallait bien festoyer et se réjouir ; car ton frère que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé ! »

 

 

 

 Profitant de la visite de la famille, mon épouse et moi, nous avons choisi de séjourner ce week-end à Trou aux biches. De ce fait, nous avons assisté  à la messe à Notre Dame de Fatima et nous avons eu le père Wheelan comme célébrant. Le début de son homélie m’a tout de suite aiguillé vers des pensées existentielles.

 Qui suis  je pour mériter le pardon de Dieu ? Pourquoi Dieu est si miséricordieux envers moi? Certainement, Dieu n’a pas besoin de moi, ni de mes relations, encore moins, de ce que je possède. Est-ce que Dieu a besoin de me récompenser pour mes actions? La réponse est encore une fois négative. Homme que je suis n’est qu’une créature libre que Dieu  créa pour me combler de Son amour malgré mes faiblesses et manquements. Père Wheelan insistât que l’Homme était aux yeux de notre créateur plus grand que ses avoirs, ses actions, ses relations ou appartenances, son histoire. Dieu n’a qu’un regard d’amour vis-à-vis de sa créature : ce qui explique son infini pardon. C’est à l’homme libre d’en prendre conscience et de l’accepter malgré ses infidélités et trahisons. Il me suffit  simplement de demander pardon et il me sera accordé. Or je sais combien des fois il m’est difficile d’admettre que j’ai fauté. Mon orgueil, mon ego m’en empêche. C’est  bien le péché qui habite en moi qui m’interdit de recevoir le pardon. Comme le fils prodigue : je dois faire le premier pas en acceptant et  en confessant ma faute. C’est aussi dans la mesure que je connais mon Dieu qu’Il me reconnaît.

Ma prière à partir du parabole du fils prodigue devrait être : Père, j’ai péché contre le ciel et contre toi. Je ne mérite plus d’être appelé ton fils.

Air Travel Air Pollution

So why is it that we can put a man on the moon but can’t fly him from Atlanta to Charlotte, N.C., without at least a two-hour delay? This is an extract of an article describing the pains of traveling by plane today. I guess the situation is getting worse with more people traveling, the threat of terrorism increasing and increased pollution. Air travel will become also more expensive with the increase of fuel in years to come. Travelers have now to pay for higher airport taxes, security taxes, fuel surcharges and may be soon a pollution tax. This week the US is not likely to sign the international agreement to cut down on CO2 pollution or the implementation of CO2 tax. The US may be the nation with the largest emission of CO2 and definitely the world biggest user of fossil fuel per capita.

The ecologists have been warning us of the threats of climatic changes and are telling us that we may be reaching the danger point when it will be impossible to balance back the excess CO2 in the atmosphere. The travel industry is surely a very great polluter. In the very near future, I would not be surprised to see a green tax on air travel. The pressure on ecology is increasing. Already corporations are trading their CO2 emissions quota through the emissions trading or similar organisation. I could well imagine that each citizen of the world would be given a quota of environment pollution which could be traded.

Another idea that crossed my mind: would there be ecology-terrorism or ecology-Kamikaze soon?